Que faire… Je viens de dire que j’ai pris ma décision, mais si même lui était contre, cette résolution pouvait chanceler.
“Qu’y a-t-il ?” (Makoto)
“Depuis le moment où nous avons commencé notre conversation dans cette pièce, j’ai l’impression que la miko n’arrête pas de me jeter des regards.” (Shiki)
“… Ah ?” (Makoto)
J’ai involontairement laissé échapper ma surprise.
“Évidemment, je ne la connais pas. Miko, puis-je en entendre la raison ?” (Shiki)
“Shiki, enchaîner les téléportations a dû être dur pour toi-ja na. Désolée, pardonne-nous.” (Tomoe)
“… Ah…” (Mio)
Tomoe et Mio regardaient Shiki avec un étrange regard.
C’est ce que je pensais avant d’entendre Tomoe soudainement exprimer ces rarissimes excuses envers Shiki et Mio a placé sa main sur front pour ensuite soupirer.
Je voulais dire quelque chose, tu sais ?
Mais Shiki était plutôt populaire dans Asora, dans l’académie et aussi dans les villages.
Ce n’était pas comme s’il ne s’en rendait pas compte.
Je ne l’avais pas remarqué, mais peut-être que la miko lui envoyait bien de tels regards.
“J’ai pourtant essayé de ne pas rendre ça évident. D’imaginer que vous l’auriez remarqué, j’ai montré une vision honteuse.” (Miko)
Hein ?!
“Une femme avec un mauvais goût-ja na. D’imaginer que c’est ce que tu aimerais.” (Tomoe)
“Tomoe-san, les goûts diffèrent selon les personnes-desu wa. Il y aura évidemment des femmes qui aiment des personnes pitoyables comme Shiki.” (Mio)
“Le type intellectuel m’attire. Et il a un côté mignon, comme avoir ses jambes engourdies. Il est vraiment attachant. Ah évidemment, je ressens chez Goshujin-sama le même coté mignon.” (Miko)
“…Hmph.” (Tomoe)
“Je retire ce que j’ai dit. Je ne peux pas juste passer sous silence son mauvais goût.” (Mio)
Qu’est-ce que ça veut dire ?
Je voulais répliquer à Mio qu’elle était la dernière qui devrait dire ça.
En premier lieu, sa première déclaration était supposée soutenir la miko-san.
Je me suis souvenu qu’il y a eu de nombreuses personnes qui ont confondu le nom de Shiki avec le mien au sein de l’académie.
Beaucoup de monde…
“… Après avoir entendu ça, je ne peux pas vraiment approfondir le sujet. Après tout, je ne connais pas vos goûts pour les hommes. C’est juste que… Je n’ai pas très envie d’avoir une relation intime avec une femme comme vous.” (Shiki)
Shiki l’a fermement rejeté.
Impressionnant.
Si c’était moi, je ne pourrais pas savoir si une femme veut se rapprocher de moi en aussi peu de temps.
“C’est dommage. Alors je garde au moins l’espoir d’avoir une bonne relation entre collègues et amis.” (Miko)
Elle est aussi impressionnante.
Ces deux-là riaient.
Maintenant que je les ai regardées à nouveau, Tomoe et Mio souriaient aussi avec froideur.
Miko avait un doux sourire et Shiki avait un sourire provocateur.
Moi, un sourire amer.
J’ai fait du mieux que je pouvais et j’ai plus ou moins réussi à afficher ce sourire sur mon visage.
“… Ah, Hum… Dans mon cas, j’apprécierais plus de force de combat. Tant que nous ne savons pas à quel point l’autre partie est puissant, j’aimerais mettre le plus de chance possible de mon côté avant de lui faire face. C’est la raison pour laquelle je songe à faire un pacte avec la miko-san. Je garde aussi la sécurité d’Asora à l’esprit.” (Makoto)
“…”
J’ai pu en quelque sorte définir ma pensée.
Les trois serviteurs et la miko-san étaient silencieux.
“…Que pensez-vous ?” (Makoto)
Personne n’a déclaré son approbation ou son opposition, alors après un moment de flottement, je leur ai demandé leur avis.
“Même si tu nous demandes ce que nous pensions, si Waka l’a décidé, nous allons simplement obéir.” (Tomoe)
“Oui, j’obéirai à ta décision-desu wa.” (Mio)
“Pareil pour moi, si c’est quelque chose que Waka-sama a décidé, je n’ai pas d’objection.” (Shiki)
Oh, c’est génial.
“C’est juste que…” (Tomoe)
… C’est Tomoe.
A-t-elle l’intention de mettre en évidence une sorte de condition ?
“Quoi ?” (Makoto)
“Si possible, je veux que Waka lui pose des questions sur le monde de Waka… Des questions concernant le monde moderne. Je n’arrive pas du tout à lire la mémoire de cette femme. Peut-être à cause de mon pouvoir, il m’est devenue impossible de facilement croire en une personne sur laquelle je n’y arrive pas. On pourrait se moquer de moi pour être une servante lâche, mais s’il te plaît.” (Tomoe)
Tomoe me regardait avec une expression tendue.
Eh bien, si ça pouvait apaiser ces trois-là, cela ne me dérange pas.
Si cette fille avait des connaissances sur le Japon moderne, je pourrais davantage croire en elle.
C’est vrai.
Que devrais-je lui demander ?
“Évidemment, la miko connaît le Japon moderne, n’est-ce pas ?” (Makoto)
Je voulais le confirmer au cas où.
“Oui. Je ne me déplace presque que jamais, mais même si ce n’est qu’un peu, la réponse est oui.” (Miko)
Elle avait un visage avec laquelle je ne pouvais lire d’émotion.
Si je le prenais simplement comme un sourire, cela semblait être de bonne volonté.
C’était aussi simple, mais quand une beauté le faisait d’une manière aussi naturelle, l’efficacité l’était d’autant plus.
Si c’était à l’époque où j’étais au Japon, il n’y avait aucun doute que j’aurais été frivole.
“Alors est-ce que je peux commencer à vous questionner ?” (Makoto)
“Si ceci réduit vos doutes à mon égard, alors veuillez poursuivre.” (Miko)
“Entendu.” (Makoto)
“Puisque nous avons la chance, si on me demande quoi que ce soit en rapport avec Goshujin-sama, je pense pouvoir répondre à la majeure partie. Il est impossible pour quelqu’un moi de détenir toutes les connaissances d’un monde, mais j’ai étudié le Japon, de surcroît, si c’était lié à Goshujin-sama.” (Miko)
Est-ce qu’elle oriente les questions ?
Mais… si elle a des connaissances sur mon passé, ainsi que mon entourage, il est certainement vrai que la suspicion diminuera de beaucoup.
Après tout, je ne crois pas que la Déesse serait si bien informée.
À contrario, si c’était Tsukuyomi-sama, il semblait être du genre à connaître ce genre de chose.
Dans ce cas, la première question…
“Quel est le jour de vente du magasin, Dusk, que j’achète tous les mois ?” (Makoto)
C’était une question étroitement liée à mon mode de vie.
Sans doute que même Tomoe et les autres ne connaissait pas la réponse.
Dusk était un énorme condensé de série historique et de valeur montante. C’était probablement l’une des publications mensuelles les plus lourdes et les plus grosses.
Parfois, il y aurait des dessins de château et des diaporamas, cela le rendait encore plus épais.
Même ainsi, le prix était faible pour une publication aussi fantastique, cela ne serait pas étrange de les voir s’arrêter à tout moment.
Ils ont lancé un tel projet aussi imprudent bien avant ma naissance, la grandeur et la décadence ne l’ont pas du tout affectée. Son autre nom était le Magazine Immortel.
Et pourtant, sa popularité n’était pas bien grande pour une obscure raison.
“Le magazine Dusk, hein. Le 22.” (Miko)
U-Une réponse instantanée.
“… Correct.” (Makoto)
“Comme on pourrait s’attendre d’une grosse compagnie qui réalise ce magazine comme un loisir, c’est un magazine possédant une solide stabilité.” (Miko)
En fait, elle connaissait même des choses que je ne savais pas.
C’était donc le fait d’une grosse compagnie ?
Où se situe cette splendide compagnie ?
“Tomoe, j’estime que cette personne est fiable.” (Makoto)
“Waka, ne te focalise pas sur une simple question. Essaye de poser d’autres questions variées.” (Tomoe)
Mais elle connaît Dusk.
Le magazine que j’adorais lire et que peu de gens de ma classe connaissait.
Elle a même immédiatement donné la réponse pour le jour de sa sortie ?
C’est une bonne personne.
À tout le moins, je commence à penser qu’elle n’est pas une mauvaise personne.
Après ça, j’ai continué à lui poser des questions, mais la miko a donné une réponse quasi instantanément à toutes.
Il n’y a plus de place pour le doute, elle connaît le Japon moderne.
J’ai même essayé de poser des questions n’ayant que peu de lien avec moi au cas où, mais le résultat n’a pas changé.
“Tomoe, il n’y a pas de doute sur le fait que cette personne vient de mon monde d’origine.” (Makoto)
“Au contraire, je n’aime pas qu’elle ait bien répondu à pratiquement toutes les questions, mais je dois néanmoins l’accepter.” (Tomoe)
“Mio, on dirait que la miko est bonne en cuisine. Est-ce que cela ne t’aidera-t-il pas à augmenter ta quantité de tes recettes ?” (Makoto)
“Je déciderai si je vais la laisserai entrer dans la cuisine, mais j’ai compris qu’elle avait des connaissances sur ton monde-desu wa.” (Mio)
“Shiki, ne pourra-t-elle aider dans tes recherches si tu avais quelqu’un ayant des connaissances dans le domaine magique des Divinités?” (Makoto)
“S’il s’agit juste d’écouter une opinion, j’estime que ceci pourrait être bénéfique. Je n’ai pas trouvé de place pour le doute avec des réponses aussi claires.” (Shiki)
“Merci beaucoup tout le monde. Je pourrais être une nouvelle arrivante, mais veuillez prendre soin de moi.” (Miko)
… Pourquoi est-ce que… Mon estomac me fait légèrement mal.
“Tu vas vite en besogne.” (Tomoe)
“Hein ?” (Miko)
Tomoe ?
“Pour devenir la servante de Waka, il y a coutume à passer. Évidemment, tu vas aussi devoir la passer.” (Tomoe)
Hein ? Quelle coutume ?
Ouais, je n’ai aucun souvenir d’avoir décidé une telle chose.
Et pourtant, Mio et Shiki semblaient avoir une idée de ce qu’elle racontait, ils souriaient en acquiesçant de la tête à la déclaration de Tomoe.
Sérieusement ?
Pourquoi y a-t-il une coutume inconnue avant de former un pacte avec moi ?
Une coutume était quelque chose qui est établie après l’avoir répété plusieurs fois et qui deviendra une chose à accomplir, pas vrai ?
La seule chose, que je suis sûr d’avoir accompli avant de passer un contrat avec Tomoe et les autres, a été… Ah.
Ne me dis pas…
“Je ne le savais pas. Je serais heureuse de le faire. Qu’est-ce que cette coutume implique?” (Miko)
Attends, se pourrait-il…
“Ne t’inquiète pas, ce n’est rien de compliqué. Nous avons tous combattu Waka avec tout ce que tu as-ja.” (Tomoe)
“… Ah ?” (Miko)
C’était vraiment ça !!!
“Et avec l’intention de tuer.” (Tomoe)
La miko avait les yeux grands ouverts de surprise !!!
“Comme s’il y avait une coutume aussi dangereuse !” (Makoto)
“Allons allons Waka. Le résultat est évident, considère-le comme une forme de bienvenue. Mio, Shiki et moi ; Nous nous sommes tous confrontés à Waka avant de passer un pacte.” (Tomoe)
“Eh bien, c’est la vérité, mais…” (Makoto)
“Il est logique que nous voudrions voir au moins l’étendue de la puissance de la nouvelle arrivante. Après tout, tu pourrais mélanger des mensonges dans ton discours.” (Tomoe)
Il est certainement vrai que je ne connais pas la force et le type de pouvoir que la miko possède.
J’avais simplement l’impression qu’elle ne tomberait pas contre Tomoe et les autres, j’ai donc cru qu’elle était assurément forte.
De plus, elle n’avait pas la puissance nécessaire pour me suivre.
Mio et Shiki acquiesçaient de la tête à maintes reprises, comme si c’était une évidence.
“Mais y aller avec l’intention de tuer, c’est juste…” (Makoto)
“Tout le monde l’a fait. En plus, si tu formes un pacte, vous ne serez pas capable de combattre sérieusement l’un contre l’autre. C’est quelque chose que nous pouvons faire que maintenant.” (Tomoe)
“Hmm…” (Makoto)
“Quelle bévue. De songer que je vous ai demandé de devenir membre de votre groupe sans vous montrer de quoi je suis capable. Il est certes vrai que j’ai fait quelque chose d’irrespectueux. Si Goshujin-sama le consent, je serais heureuse de le faire.” (Miko)
Euh, la miko est plutôt du genre combatif, hein.
Non seulement elle n’a pas tressailli, mais elle y était favorable.
Tomoe et les autres scrutait la scène et ont accepté ses paroles.
Eh bien, si je n’y vais pas avec l’intention de tuer, je ne crois pas que ceci deviendra quelque chose de sérieux.
En parlant d’intention de tuer, je n’en ai pas eu avec Tomoe et les autres.
Bon, dans le cas de Mio, ça pourrait être discutable.
“Alors, allons dans un endroit plus spacieux. Après tout, je ne voudrais pas me battre au sein de ces sanctuaires.” (Makoto)
Même si cela ne dérange pas la miko-san, je ne souhaite pas le faire.
J’ai pressé les autres d’aller à l’extérieur.
“Exact.” (Tomoe)
Tomoe ne semblait pas s’en soucier et a suivi le mouvement.
Hormis la miko-san, Tomoe apprécie le sanctuaire shinto, c’est donc une réponse évidente, hein.
“Merci pour la considération, Goshujin-sama. La seule aptitude dont je suis fière comparée aux autres, c’est seulement ma vitesse, mais je ferai de mon mieux. Veuillez prendre soin de moi.” (Miko)
“Ah, la même ici.” (Makoto)
Vitesse.
C’est donc l’arme de cette miko, hein.
J’ai cru qu’elle ferait des choses comme des sorts basés sur le yin et le yang ou utiliserait un naginata.
Pas bon, la vitesse peut coexister avec les deux possibilités.
En fait, n’est-ce pas étrange de le révéler soi-même ?
… Ah… Je ne peux pas m’empêcher de penser que je suis déjà tombé dans le piège tendu par mon adversaire en y réfléchissant.
Comme je le pensais, il n’y a pas de doute qu’elle est du genre avec lequel j’ai dû mal à gérer.
Je ne peux pas la laisser chambouler mon esprit et perdre.
Cela serait bien trop pathétique.
Je vais combattre avec mon propre style de combat.
En plus de ça, je lui ferai montrer les atouts qu’elle a pour apaiser l’esprit de ces trois-là et je gagnerai.
Les choses que j’avais à faire et les choses que Tomoe attendait de moi ; Si c’était le moi-actuel, je peux en quelque sorte saisir.
Nous quittions temporairement les terres du temple shinto et nous nous dirigions vers une plaine que nous avions vue pendant que nous étions en route ici.
“C’est un bon endroit.” (Miko)
“Seras-tu en mesure de déployer toute ta puissance ?” (Tomoe)
“Oui.” (Miko)
“Waka, es-tu aussi prêt ?” (Tomoe)
“Quand tu veux.” (Makoto)
“Alors je vais me retirer.” (Tomoe)
Tomoe s’est inclinée devant moi et s’est ensuite dirigée vers où se trouvait Mio et Shiki.
Ce lieu n’avait aucune délimitation, mais si c’était ces trois-là, ils devraient être capables de se défendre contre les attaques indirectes ou leurs conséquences, ainsi il n’était pas nécessaire de s’inquiéter.
Je devais juste me concentrer sur la miko-san devant moi.
“Je suis fin prête. Goshujin-sama, quand vous aurez fini avec vos préparatifs, veuillez me prévenir.” (Miko)
“…” (Makoto)
À sa taille, il y a une paire d’épées, une longue et une courte. Dans ses mains, un naginata, hein.
De plus, il y a quelque chose de caché dans sa poitrine.
Elle était donc complètement préparée.
Elle est équipée avec des armes d’origines humaines et sa manière de combattre devrait être assez humaine.
“Goshujin-sama ?” (Miko)
Même si c’est pour faire avancer les choses, ça serait étrange pour moi de parler poliment envers une personne avec qui j’allais former un pacte, en outre, envers quelqu’un avec qui je me battrai dans l’intention de la tuer, hein.
Elle m’avait demandé d’arrêter ça.
“Quand tu veux. Tout comme je te l’ai dit auparavant, ils ont déclaré que tu devras combattre avec l’intention de tuer, alors il n’y a pas besoin pour toi de prendre de telle considération.” (Makoto)
“Halalala.” (Miko)
… Une très forte soif de sang a été soudainement émise.
Ce n’était pas quelque chose qui pouvait être immédiatement dirigé envers une personne que l’on nommait Goshujin-sama il y a peu.
Ce sourire et ce regard qui avait été doux depuis le début, pour la première fois, j’avais l’impression que ses émotions s’étaient allumées en elle.
……
Même si je n’avais pas quitté des yeux la miko, sa silhouette avait disparu.
Si c’était quelque chose causé par sa vitesse, c’était vraiment impressionnant.
Immédiatement après ça, j’ai ressenti un impact sur le corps de mana que j’avais dilaté et concentré.
L’herbe, qui poussait clairsemée dans le secteur, a été secoué avec un léger retard.
Il n’y avait pas de sort déraisonnable comme la téléportation et je m’étais déjà habitué à ce monde, ainsi, je ne serais pas surpris juste parce qu’elle avait disparu.
C’était donc sa vraie vitesse qu’elle pouvait faire ressortir sans mouvement visible ?
“Même si c’était en lieu et place d’une salutation, il est surprenant que vous soyez indemne. Comme on pouvait s’y attendre. Au passage… Je ne suis seulement qu’une Miko n’ayant pas encore de nom, mais il ne serait pas approprié de m’appeler ‘La Sans Nom’ ou la miko.” (Miko)
Je n’arrivais pas à savoir d’où venait sa voix.
Je ne peux pas la voir et sa présence virevolte ici et là, je n’arrive pas du tout à la suivre.
Comme une forte lumière scintillante, il est clair qu’elle peut baisser ou augmenter sa présence et soif de sang dans le but de me troubler.
Je dois prendre une grande aspiration et expirer.
Inutile de s’agiter.
Ceci sera un long combat de toute façon.
Il n’y a rien de mal à juste discuter.
“Et ?” (Makoto)
“C’est la raison pour laquelle je voulais vous donner un ancien nom. Un nom que j’ai porté il y a bien longtemps.” (Miko)
“Cela aiderait beaucoup. Pour être franc, je ne me sentais pas bien à t’appeler constamment la miko.” (Makoto)
Au milieu de la conversation, j’ai pu ressentir des attaques à plusieurs reprises.
Et il y avait aussi des impacts dus à la magie.
Je ne pouvais pas voir rien de tout ça.
J’estime le plus honnêtement du monde que c’est impressionnant.
Je peux comprendre la raison pour laquelle elle en est fière.
À l’avant, sur les côtés, à l’arrière ; Elles ne m’atteignaient pas, mais il n’y avait que moi qui subissais des attaques.
“Huhuhu. Touda, il fut un temps où j’étais appelée ainsi. Cela n’a duré que peu de temps.” (Touda)
“Touda, hein. Entendu.” (Makoto)
J’ai l’impression de l’avoir déjà entendu.
Même ainsi, d’après ce que j’ai entendu auparavant, rien ne garantit que ce sera utile pour le moment.
Au lieu d’essayer de s’en souvenir, il serait préférable de me concentrer sur la personne avec laquelle je me bats.
Elle a déclaré avoir eu plusieurs noms et qu’ils ont été associés à de nombreuses existences ; Si je devais être dérangé par chaque chose de ce style, il n’y aurait pas de fin.
C’est bon.
Après tout, en termes de puissance… Je vais maintenant lui faire dévoiler son jeu.