tsuki-extra-05

Attention, il est déconseillé de lire ceci avant le chapitre 49.

 

Pendant ce temps-là, dans le monde moderne (3)

 

 

 

Crédits

Trad: Quesako

Check : Heyruko et Ghost

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Traduction réalisée par lightnovelbastion

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Si j’allais à l’extérieur, ma peau serait abîmée. Pendant l’été, aller dehors sans un chapeau me provoquerait une insolation en quelques minutes.

J’avais des douleurs musculaires quand je marchais. Mes jambes et mon bas-ventre avaient des crampes; Je passais mes journées à me sentir comme un veau ou un poulain qui venait de naître. Combien de fois j’ai imaginé qu’il serait agréable d’utiliser un fauteuil roulant ?

Au moment où j’aurais fini de manger, je serais couverte de sueur. Quelques instants plus tard, je ne serais plus capable de soulever mes bras normalement.

Si je regardais une comédie, mes muscles abdominaux en souffriraient grandement. Je ne pouvais pas dire si la comédie était suffisamment drôle pour me faire pleurer de rire, ou si je pleurais de douleur.

C’était à l’époque où mon jeune frère était jeune.

Je suis Misumi Yukiko. Yukiko alors que je suis née le 10 août. Je me pose toujours des questions sur le sens de l’humour de mes parents. Bien que je pense que c’est mieux que le prénom de mon petit frère, Makoto, qui est né le 1er avril. (NTA : Yukiko signifie ‘enfant de la neige’, donc son nom est ironique en considérant le fait qu’elle est née au milieu de l’été, Makoto veut dire ‘réalité/vérité’, alors son nom est encore plus absurde en étant né le 1er avril.)

En ce moment, j’étudie la science médicale à l’université. J’ai 20 ans et la première chose que je veux faire après avoir été diplômé, c’est d’aller dans un pays éloigné pour améliorer mes capacités, mais je commence à en avoir marre de l’opposition virulente de mon père.

Ultérieurement, je voudrais vivre au Japon en tant que pédiatre, mais même si je le disais à mon père, il ne voulait pas en entendre parler.

Ma mère, ma sœur et mon frère m’ont approuvé.

Par contre Makoto a soudainement quitté la maison, alors je ne savais pas à quel point cela comptait.

Mon père a dit que c’était ainsi que l’homme de la famille devait la diriger, en se mettant continuellement entre moi et mon futur. Bon sang, Makoto, pourquoi tu n’as pas prédit ce qu’il se passerait ?

Je n’ai aucune idée d’où il a pu partir. Papa et maman ont l’air d’être au courant et me disent qu’il va bien, mais ils pleurent de temps en temps. Je voudrais avoir des réponses.

La seule chose que je pouvais dire avec certitude. C’est qu’il ne reviendra pas avant d’être devenu un docteur.

Ce jour-là, une lettre était adressée à moi et à ma jeune sœur Mari… Ceci doit être bien d’avoir un nom normal comme elle. Secrètement, je pense qu’elle aurait dû s’appeler Misoka-chan puisqu’elle est née le 1 janvier. (NTA : Misoka signifie ‘le dernier jour du mois’, alors que Mari veut dire ‘vérité’ et ce n’est pas de l’ironie, vu qu’elle n’est pas née le jour du poisson d’avril.)

Je vais aller aider Ouoka-sama dans le sud. Je crois que tout se passera bien, mais n’allumez pas mon pc. Lorsque vous le jetterez, verser de l’eau dessus et juste au cas où, détruisez-le avec une arme contondante, comme une masse. Faites ce que vous voulez avec le reste des objets de ma chambre. De plus, je crois que onee-san ferait une bonne pédiatre. Faites de votre mieux. Veille à chérir beau-frère-san… Bien qu’il ne l’est pas encore. Si Mari a des ennuis au collège ou au lycée, elle pourra compter sur une senpai nommée Higashi. Mais qu’elle ne s’approche pas d’un senpai appelé Ibuki. Ah ! Et qu’elle n’oublie pas de frapper avant d’entrer dans la chambre de quelqu’un. Bon alors, portez vous bien.” (NTA : Ma meilleure supposition serait qu’il se réfère à Ouoka Tadasuke qui a vécu de 1677-1752)

Et avec ça, Makoto a disparu. Non, il était déjà parti.

Ce matin-là, il s’est évanoui en ne laissant rien d’autre que cette lettre qui ressemblait à un genre de blague. Il n’est pas rentré une seule fois à la maison, ni essayé de prendre contact.

Mais à en juger par la déclaration de mes parents lorsqu’ils ont dit qu’il allait étudier à l’étranger, ainsi que les instructions détaillées qu’ils ont données, j’ai le sentiment qu’ils savent quelque chose. Papa aurait besoin d’un coffret fort spécial pour cacher ces secrets tellement il les révélait facilement, mais même lui gardait le silence lorsqu’on abordait le sujet, telle une huître gardant sa perle. Peut-être que cela a quelque chose à voir avec leur passé.

Comment se sont-ils rencontrés et comment sont-ils tombés amoureux ? Nos parents sont un tel mystère. Ils se parlent affectueusement, mais l’histoire de leur rencontre changeait à chaque fois que je leur demandais. J’aurais cru que ça ne poserait pas de problème de problème si votre fille voudrait en savoir plus sur votre histoire d’amour. C’est vraiment un mystère.

En plus, ils ont dit qu’ils détestaient les photos et qu’ils n’en avaient aucune de leur passé, mais pourquoi ont-ils plusieurs albums sur moi, Makoto et Mari ? Pourquoi y a-t-il un nouvel album intitulé “notre famille” qui apparaît à chaque saison qui passe ? En fait, ils aiment beaucoup trop les photos !

Nous n’avons aucun contact avec le reste de la famille, mais bon, ce n’est pas très grave parce que c’est plus simple pour nous. À la place, les parents de nos amis visitaient notre maison et nous, frère et sœurs, n’avons jamais ressenti la solitude par le fait de ne pas avoir de famille autre que nous.

De temps en temps, nous avions des visiteurs qui venaient manifestement d’autre pays, ce qui nous rendait nerveux, mais maintenant c’était quelque chose que nous attendions avec impatience.

Oups, je me suis éloignée du sujet.

Je parlais de la lettre de Makoto.

Il n’y avait aucune indication sur son objectif et sa destination. Il n’était pas normal qu’un enfant, qui n’a jamais laissé sa famille toucher son PC, demandât de s’en débarrasser. Il a toujours conseillé que je devienne un médecin sportif. Cela faisait longtemps qu’il avait abandonné l’idée que Mari se souvienne de frapper avant de rentrer dans sa chambre.

Toutes ces choses rendaient tout ça étrange.

Je suis heureuse qu’il a accepté mon choix de faire de la pédiatrie. Bien que ce soit un peu regrettable qu’il ne l’ait pas dit en face à face, mais à travers une lettre avant qu’il ne disparaisse.

Je l’ai répété à ma famille et à mes amis proches, mais Makoto était la raison pour laquelle j’ai choisi la voie de la médecine.

Il était incroyablement chétif et il attrapait de la fièvre à chaque fois qu’il faisait quelque chose. Bien qu’il y a eu de nombreuses fois où j’ai pensé qu’il causait trop de soucis. Après tout, j’ai souvent pris soin de lui dans mon enfance.

Mon propre corps était plus faible que la plupart des gens, mais la faiblesse de Makoto a complètement balayé le complexe que j’avais à ce propos. J’étais relativement bien comparé à mon jeune frère.

J’ai été pratiquement forcée à faire du judo et je devais également faire le ménage. Je pense que ce qui m’a permis de tenir, c’était le sentiment de vouloir le protéger parce qu’il était plus faible que moi et le fait qu’il essayait de devenir plus fort malgré tout.

En fin de compte, la pratique du judo est devenue une seconde nature. Je vais à l’université tout en rentrant à la maison, donc j’ai toujours le ménage à faire. Eh bien, tu sais, les étudiants en université ont une vie sociale chargée (vraiment), alors beaucoup de choses ont changé pour moi aussi.

Pour l’instant, je suis en mesure de faire face à la plupart des taches ménagères, j’ai une assez bonne réputation auprès des professeurs, senpai, kohai et les personnes du même age que moi pour qu’ils me fassent confiance, j’ai progressé au judo jusqu’à un point que je considérais comme un haut niveau parmi les poids plumes.

Puisque que je n’avais pas l’intention de vivre ma vie en tant qu’athlète, je n’ai participé à aucun match officiel depuis que je suis entrée à l’université et je ne faisais partie d’aucun club, mais j’ai eu une interview quand j’étais encore au lycée.

Mon corps était toujours plus faible que la plupart des gens, mais j’étais suffisamment en bonne santé. J’étais juste fatiguée un peu plus rapidement.

Lorsque j’ai entendu parler de l’option d’entrer dans une école de médecine de part la personne qui semblait appartenir à l’univers des médias, j’ai commencé à me demander si mon corps était défaillant, mais ce n’était pas le cas.

En réalité, la croissance de mon ambition, qui provenait de mon sentiment de vouloir guérir Makoto de ses blessures et de sa maladie, n’a provoqué aucun mal à mon corps.

Ceci étant dit, il avait une meilleure endurance que moi à présent et pouvait courir normalement. Mes sentiments, que j’avais lorsque j’étais jeune, ont fini par juste être une excuse pour que je choisisse la médecine. Cela me fait sentir un peu seule, mais honnêtement, j’en suis heureuse.

Maintenant que j’y réfléchis, Makoto a détesté se tenir debout devant le feu de la gazinière et aller dehors pour tester différents arts martiaux.

Il avait beaucoup de souvenirs douloureux de brûlures et de fractures. Maintenant que j’y repense, j’ai été horrible de le surnommer ‘le faible’.

Je me demande quand ceci a commencé.

Quand est-ce que son regard a commencé à changer ?

C’est vrai.

Je suppose que ça a été lorsqu’il s’est tourné vers le kyūdō. Non, peut-être que cela a même commencé quand Mari a eu l’age de pouvoir parler.

À ce moment-là, il a vraiment donné tout ce qu’il avait pour progresser, ne serait ce que d’un pas.

Au début, c’était impossible de dire s’il essayait de tenir son arc ou s’il l’utilisait pour s’appuyer.

Je n’exagérais pas. Une fois, Makoto n’a pas réussi à conserver sa position agenouillée, a chuté et s’est cassé un bras. Je me demande bien ce que recherchait nos parents en lui apprenant les arts martiaux. J’en ai aucune idée.

Eh bien, parmi tous les arts martiaux, je pense que le Kyūdō est l’un des plus calmes, mais… Pourtant j’ai cru qu’il serait impossible que Makoto puisse continuer sur cette voie.

Il s’est levé, s’est assit, a utilisé un arme en caoutchouc et a étudié sa constitution.

J’ai été très impressionnée qu’il a persévéré à l’apprendre. Rétrospectivement, puisque Makoto a obtenu un corps en bonne santé, n’est-ce pas une bonne chose au final ?

Maintenant que j’étudiais la médecine, je pouvais dire avec certitude que ce n’était clairement pas une bonne chose pour lui, mais… au bout du compte…

Contre toute attente, c’était une sorte de zone floue.

Bon, c’était quelque chose où je pouvais me permettre de prendre mon temps et m’en occuper quand Makoto reviendra.

Ce n’était pas comme si nous allions être séparés toutes notre vie.

Hormis cette lettre douteuse, c’est la maison de Makoto et nous sommes de la famille de Makoto. C’est pourquoi je ne crois pas que Makoto ne puisse pas revenir dans cette ville, surtout dans cette maison.

C’était quelqu’un qui a déjà fait un miracle avec le renforcement de son corps. Comme le dit l’adage ‘Pas de nouvelles, bonnes nouvelles’.

Il ne m’avait présenté encore aucune petite-amie. Ce n’est pas juste que je suis la seule à avoir présenté mon petit-ami.

J’ai vu plusieurs photos lorsqu’il était au club ou à d’autres occasions et ce n’était pas comme s’il n’y avait aucune femme autour de lui. S’il prenait le temps de sortir avec quelqu’un, elles comprendraient à quel point il était un mec bien. Je pense qu’une fille comme ça doit bien exister quelque part.

En fait, le problème pourrait résider dans Makoto lui-même.

Il était jeune, mais il avait des passe-temps qui n’était pas adapté à quelqu’un de son age.

Un adolescent normal enregistrait-il, tout en le regardant, un drama historique qui commence à 10h du matin, alors qu’il pourrait le regarder plus tard ? Ne connaîtrait-il pas le nom des groupes d’idoles ? Se lancerait-il dans une discussion passionnée sur des acteurs de seconde zone ? Aurait-il des DVD de série de dramas historiques alignés et classé par ordre alphabétique dans un coin de sa chambre ? Est-ce que le contenu de la playlist musicale serait du Gypsy Kin et Billy Van ? Non, il n’y a pas moyen. Ceci ne pourrait pas être possible. (NTF : En simplifiant, Gypsy Kin = flamenco et Billy Van = électro)

Quand j’ai parlé à mon jeune frère s’il jouait à un jeu érotique, il a prétendu que ce n’était pas ce genre de jeux et que c’était un chef-d’œuvre. À ce moment-là, j’ai été en fait soulagée.

Ses notions d’une relation entre un homme et une femme dataient de l’époque Showa, ou peut-être même encore plus vieux. (NTF : Ère Showa = 1926-1989)

Même si une fille se confessait à lui, je ne crois pas qu’il acquiescerait tranquillement.

Avant cela, il pourrait se méprendre et la mettrait dans la catégorie ‘famille’ comme moi ou Mari, ou bien la rubrique ‘amie’ avec Ibuki-kun et les autres.

J’estime qu’avoir des amis et des compagnons est une chose merveilleuse, mais c’est différent de l’amour. J’ai bien l’impression qu’il ne pourrait sûrement pas comprendre…

J’espère que je m’imagine des choses.

‘‘… Hé, Yukiko, tu n’es pas concentrée.’’ (Homme)

Je me demande s’il est déjà tombé amoureux de quelqu’un avant ?

‘‘… Y a quelqu’un ? Si tu continues à avancer tes mains, je vais commencer à être effrayé, tu sais ?’’ (Homme inquiet)

Est-ce que les choses seraient différentes s’il y avait une fille qui lui apprendrait ces choses avec plus de fermeté ?

‘‘Non ! Yukiko, tu ne peux pas faire ça ! Sûrement pas autorisé !’’ (Homme très inquiet)

Tellement bruyant. Une personne essaye de réfléchir ici, tu… sais ?

‘‘Stop ! Arrête-toi ! Tu as trop de force pour moi ! Je t’en prie !’’ (Homme effrayé)

Oh. J’ai oublié ce que j’étais entrain de faire.

‘‘D-Désolée !’’ (Yukiko)

J’étais presque sur le point de mettre l’aiguille de la seringue entre l’ongle et le bout du doigt de l’annulaire.

Pas bon, pas bon.

Je lui ai demandé de m’aider dans mon entraînement à insérer des aiguilles pour apprendre à le faire de manière d’indolore et également veiller à ce que j’atteigne correctement les vaisseaux sanguins.

Heureusement, mon petit-ami était du genre à avoir des veines difficiles à trouver et qui ne bougeait pas beaucoup, donc c’était un bon entraînement. Et en ce moment, j’étais au milieu de mon entraînement.

D’imaginer que je me perdrais dans mes pensées. J’ai de la peine pour mon petit-ami qui passe ses journées à se faire trouer chacun de ses bras.

‘‘Je me demandais si tu avais changé d’avis et que tu as décidé de me torturer à la place.’’ (Petit-ami)

Puisqu’il n’avait pas l’habitude des activités physiques, il lui était impossible de s’échapper à mon emprise. Hmm, ceci a dû être effrayant.

‘‘Je suis désolée, ok ? Restons-en là pour aujourd’hui.’’ (Yukiko)

Oui, et si on ne part pas maintenant, nous n’aurons pas le temps pour notre rendez-vous. Bien que nous soyons tous les deux des étudiants universitaires, nous devons trouver du temps pour être ensemble.

‘‘As-tu pensé à quelque chose ?’’ (Petit-ami)

‘‘Oui, pas longtemps.’’ (Yukiko)

‘‘… À propos du lycée Nakatsuhara ?’’ (Petit-ami)

‘‘… ?! Non, quelque chose d’autre. On va être bientôt en décembre, pas vrai ? Je me disais juste que ça serait drôle avec tous les fêtes.’’ (Yukiko)

J’ai donné une réponse assez vague à ses préoccupations. J’ai entendu dire que mon frère n’avait rien à voir avec les incidents de mon ancien lycée. J’ai été vraiment surprise quand on m’a soudainement informé sur des histoires lorsqu’il était au collège et au lycée.

‘‘Même si tu dis cela, nous sommes très occupés au bout du compte, tu sais ? Mais je souhaite faire tout mon possible, et je le ferai.’’ (Petit-ami)

‘‘Je m’en réjouis déjà.’’ (Yukiko)

‘‘Ah, je voudrais voir à nouveau Makoto-kun. Il était toujours gentil avec moi et cela me rendait heureux, comme si j’avais un petit-frère. J’espère pouvoir le revoir, même si c’est juste pour lui souhaiter une bonne année.’’ (Petit-ami)

‘‘Ouais, tu as raison. Mais il est déjà dans la seconde année de son lycée. Qui sait s’il aura du temps libre ? Je ne crois pas que ça sera possible pour le jour du Nouvel An, tu sais ?’’ (Yukiko)

‘‘Hmm, je viendrais souhaiter la nouvelle année, ensuite nous pourrions faire ensemble notre première visite à un sanctuaire. Ou à moins que tu ne sois occupée ?’’ (Petit-ami)

‘‘Je ne suis pas débordée, mais…’’ (Yukiko)

Le jour du Nouvel An pourrait être néfaste. Je dois protéger son porte-monnaie, ou les rendez-vous des prochains Nouvel An seront…

‘‘Y a-t-il quelque chose qui ne va pas ?’’ (Petit-ami)

‘‘Le jour du Nouvel An est l’anniversaire de Mari. Elle est impitoyable, donc elle exigera des cadeaux pour la nouvelle année et son anniversaire, tu sais ? Elle insistera auprès de toi pour les avoir en t’appelant beau-frère-chan.’’ (Yukiko)

‘‘Argh…’’ (Petit-ami)

‘‘Tu es un enfant unique, alors tu as même cajolé Makoto. Crois-tu que tu peux gagner contre Mari ?’’ (Yukiko)

C’est exact. Mon petit-ami était le seul enfant de sa famille. Il se languissait de ne pas avoir eu de frères et de sœurs.

C’était pourquoi il a toujours été si serviable envers Makoto et voulait tellement le rencontrer. Vraisemblablement, il est tombé une fois sur Mari-chan en ville, il l’a emmené lui et ses amis, qui étaient avec elles, déjeuner à un restaurant familial (je pense qu’ils étaient sept ou huit) et a prit l’addition pour lui. Faible, tellement faible !

La raison pour laquelle il était si gentil avec lui, c’était probablement à cause de… Depuis le jour où j’ai eu un copain, Makoto n’a plus eu de piqûre dans les bras. Ses vaisseaux sanguins étaient exceptionnellement difficiles à trouver, comme mon petit-ami.

J’ai le pressentiment que Mari voit vraiment mon copain comme un canarticho. (NTF : Pokémon) C’est un problème qu’il la cajole en dépit de ça, mais comme Makoto, il préfère les chats aux chiens. Je ne crois pas que je serais en mesure de corriger cela. Je n’ai pas d’autre choix que de devoir restreindre un peu Mari pour éviter qu’elle ne tourne autour de lui.

Je suis heureuse qu’il apprécie tellement mon petit frère, mais je ne crois pas qu’ils pourront se rencontrer pour la nouvelle année. Je me sens triste de lui avoir menti, mais un jour, je vais devoir lui dire que Makoto est allé étudier à l’étranger.

J’ai pris la main de mon petit-ami et j’ai senti sa chaleur. Je me suis sentais frustrée que je ne puisse lui dire la vérité tandis que nous marchions le long de la route qui était au bord de la rivière sur laquelle brillait le soleil couchant.

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Note de l’auteur :

Avez-vous apprécié le chapitre ?

Ce chapitre était sur la sœur aînée de Makoto.

C’est étrange. En réfléchissant à ce que j’écrivais sur l’ébauche de la onee-san qui était une Déesse. Je me suis tourné vers mon pc et j’ai complété ce chapitre à la place.

Une onee-san étonnamment différente. De plus, quand j’ai commencé à écrire, j’ai contasté que je pouvais continuer à écrire.

Je pense que j’ai été possédé par quelque chose. C’était ma première expérience de ce genre. Puisque j’ai écrit ce chapitre, je pensais que ça ne serait pas si mal, alors j’ai décidé de le mettre en ligne.

Yukiko-san est aussi douée dans le judo que Onna Sanshirou (NTF : Un jeux vidéo de judo sur arcade).

Bien qu’aspirante à être médecin, qui est attrapé par elle, est fini. Elle peut facilement démolir Makoto-kun. Un combat rapproché avec elle est très dangereux.

J’ai pensé que je devrais expliquer la raison de pourquoi le corps de Makoto était particulièrement faible dans l’histoire principale, alors j’ai décidé de ne pas le faire avec ces chapitres supplémentaires.

Actuellement, j’accepte les suggestions pour poursuivre les chapitres supplémentaires.

Eh bien, à plus tard.