tsuki-extra-08

Attention, il est déconseillé de lire ceci après le prologue de l’histoire principale.

 

 

Pendant ce temps-là, dans le monde moderne (5)

 

 

Crédits

Trad: Quesako

Check : Heyruko et Ghost

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À 5 minutes de la gare de Nakatsugawa, pour la célébration de l’ouverture d’une nouvelle librairie, un certain auteur faisait une cession de dédicace.

C’était le week-end, de nombreuses personnes ne travaillaient pas et étaient venues la visiter. La file d’attente pour avoir une signature était très longue.

L’auteur a écrit un roman, le contenu restait assez traditionnel. Il décrivait l’histoire d’un jeune héros, mais la file d’attente était partagée à 50-50 entre les hommes et les femmes. C’était plutôt inhabituel pour ce type de roman. En temps normal, c’était principalement des hommes qui la composaient.

Mais lorsque tu regardais l’auteur, il était facile de comprendre la raison pour laquelle il y avait autant de femmes ici. L’auteur était un homme très séduisant. Des rumeurs sur sa véritable identité circulaient. Un acteur, un top modèle, un prince d’un pays quelconque, etc. Il avait des cheveux noirs et un visage avec des traits Européens.

En outre, son teint pâle et son visage fin déclaraient presque qu’il était fait pour les métiers du spectacle. Ses cheveux n’étaient ni long, ni court et étaient naturellement noirs. Cela lui convenait très bien.

C’était vraiment un homme magnifique. Il y a quelque temps, il s’est fait prendre en photo par un reporter qui l’a exposé au média. Auparavant, son visage était inconnu du public et il ne mettait jamais de photo dans ses œuvres. Le buzz généré par les médias était la raison principale du ratio de la file d’attente.

Cet homme était très occupé à interagir avec ses fans, il y avait deux personnes avec lui qui étaient très occupées à déplacer des choses. L’une d’entre elles était très jeune et se démarquait de l’autre.

À côté de l’auteur, il y avait un homme qui lui remettait les livres à signer et donnait des instructions à la fillette dans son dos.

Certaines personnes à l’avant de la file pouvait entendre leur conversation. Naturellement, c’était partiellement et il fallait un peu d’imagination pour combler les trous.

“Mari-chan, prenez un siège s’il vous plaît.La file d’attente ne se videra pas de sitôt. Sensei (NTF : Dans ce contexte, il faut le considérer comme auteur et non comme une personne qui a plus d’expérience.) a également informé le magasin qu’il peut gérer une file d’attente encore plus grande que ça, donc nous allons rester ici pendant un bon moment.” (Éditeur)

(NTA : L’éditeur est la personne en charge de l’auteur de Makoto et donc, du père de Makoto.)

La fillette nommée Mari a acquiescé et a demandé quelque chose à l’autre homme. Elle n’était pas une adulte, mais elle n’était plus une enfant.

“Père, veux-tu prendre une pause ?” (Mari)

“Non, je vais bien, prends une pause ma puce.” (Hayato)

Il y a eu des petits sursauts dans la file d’attente quand ils ont entendu les mots du père envers sa fille.

L’homme mûr a répondu avec un petit sourire alors qu’il se reposait sur sa chaise. Tout le monde pensait qu’il avait dans la trentaine, mais si sa fille avait déjà cet age, il était normal de penser qu’il avait bien plus que ça.

Son nom d’artiste était Kanato, mais son vrai nom était Misumi Hayato. Le nom de sa fille était Mari, c’était la plus jeune de ses filles.

Savoir qu’il avait une fille a été une surprise pour les personnes présentes, mais apprendre qu’il avait une fille d’un tel age a été une énorme stupéfaction. S’il avait dit que sa fille aînée était à l’université, alors la séance de dédicace deviendrait un colloque sur les produits de beauté et soin anti-vieillissement.

Après que sa fille fut partie pour prendre une pause, son éditeur a repris la discussion avec lui.

“Quel est le problème, Nakajima-san ?” (Hayato)

“Sensei est plus populaire que je n’aurais cru ! Puis-je faire une suggestion ? Je ne dis pas qu’il faudrait aller faire une tournée nationale, mais 3 ou 4 fois dans ce genre d’endroits aiderait grandement.” (Nakajima)

“Je ne pourrais pas en supporter autant. J’ai seulement dit ok parce que nous pouvons régler cette séance en une journée, si nous le faisons plus régulièrement, ceci affecterait mon œuvre.” (Hayato)

“Sensei, les autres préfectures sont plutôt pas mal, je crois que parfois il soit bon de se reposer à la campagne ou dans d’autres lieux similaires.” (Nakajima)

“Je suis désolé, mais le temps que je passe avec ma famille sont les plus grands moments de ma vie, je le ferai à nouveau quand je sortirai mon nouveau livre.” (Hayato)

“Hmm, veuillez au moins discuter en discuter avec votre femme.” (Nakajima)

“Je comprends, Nakajima-san.” (Hayato)

Hayato a fait petit sourire envers Nakajima, qui a manifestement essayé de le persuader de faire plus de dédicaces. Il était un éditeur qui suivait Hayato depuis fort longtemps, il allait chez lui et avait une relation assez proche avec les membres de sa famille.

Ses fans s’approchaient de lui un par un pour demander de signer ses livres et pour lui exprimer leur soutien.

Mari s’est assisse à côté avec une bouteille de jus de fruits à la main.

Elle pensait que son père était très populaire en voyant la fille d’attente.

“Je savais que papa est incroyable, mais je ne comprends pas la différence entre ce qu’il a écrit et ce à quoi joue mon frère sur son ordinateur…” (Mari)

Mari ne comprenait pas non plus l’intérêt des livres que son père écrivait. De son point de vue, être un auteur de roman semblait être vraiment simpliste et c’était un métier mineur dans une niche de marché. Mari était le genre de fille qui ne lisait seulement qu’à but académique, elle ne cherchait qu’à gagner plus de connaissances.

La seule fois où elle avait ouvert l’un des livres de son père, il y avait une image sur la page de gauche et un unique mot sur la page de droite.

“Absolument”

Mari a immédiatement fermé le livre parce qu’elle pensait que ce format inconnu était hors de portée de sa compréhension.

Un jour, elle s’est faufilée dans la chambre de son frère et a lancé un de ses jeux. Elle n’a pas pu comprendre la raison pour laquelle Makoto jouait à ces jeux qui avaient tant de femmes irréalistes avec des coiffures hautement improbables. Elle pensait que les hommes de sa famille étaient vraiment… originaux, pour ne pas dire étranges.

“Cette personne là-bas…” (Mari)

Mari a remarqué deux personnes au milieu de la file d’attente. Mari s’est souvenue qu’au niveau de leur position, cela devrait être les dernières personnes avec un billet numéroté. En d’autres mots, ils étaient les dernières personnes qui recevraient un autographe. Tous les autres après eux étaient là pour son nouveau livre et lui témoigner leur soutien.

Ces personnes lui semblaient familières, elle essayait de s’en souvenir en buvant son jus de fruit.

“Oui, maintenant je m’en souviens, ces personnes sont du club de Kyūdō de mon frère. Je crois que son nom est Azuma Yukari-san ?” (Mari)

Elle était également une camarade de classe de mon frère et la capitaine de club de Kyūdō. Elle s’est souvenue d’avoir vu une autre personne sur la photo. Son frère avait dit à l’époque : la ‘fiable’ Azuma et l’Ibuki ‘à ne pas s’approcher à moins de 10 mètres’.

Mari a senti que les voir ici était quelque peu inattendu, mais elle a estimé qu’elle devait aller les saluer. Ils étaient des connaissances de son frère et elles sont venues à la séance de dédicace de son père, alors les saluer ne serait pas anormal.

Heureusement, la file d’attente était dirigée par des cordes qui traçait un chemin, alors ceci ne créera pas de rupture en les approchant.

Mari a posé sa bouteille en plastique et s’est dirigée vers la personne nommée Azuma. Alors qu’elle remontait la file, elle a vu deux autres personnes qu’elle n’avait jamais vu avant. Cependant, ça ne l’avait pas empêchée de marcher dans leur direction, cela l’a rendu plus audacieuse et déterminée. Des personnes pourraient penser que c’était dangereux, mais Mari était un maître dans l’art du karaté, elle était à un niveau de loin supérieur à celui d’une collégienne et pouvait facilement rivaliser avec les meilleurs lycéens. Elle allait même continuer lorsqu’elle rentrerait au lycée et à ce moment-là, son nom deviendrait célèbre, c’était ce qu’avait déclaré plusieurs de ses professeurs et coéquipiers.

“Bonjour, êtes-vous Azuma-senpai ?” (Mari)

“Ah, oui… Je suis Azuma, désolé, mais sommes-nous déjà rencontrées avant ?” (Azuma)

“Non, je vous ai vu sur une photo, vous êtes la capitaine du club de Kyūdō du lycée Nakatsuhara, n’est-ce pas ?” (Mari)

“Oh, est-ce une photo des membres ? Peut-être que vous avez un proche dans le club ?” (Azuma)

“Oui ! Je suis Mari, la petite sœur de Misumi Makoto. Je suis heureuse que vous soyez venue à la dédicace de mon père !” (Mari)

Misumi Makoto, un nom qui lui était désagréable à entendre. Yukari Azuma était clairement bouleversée par ce nom. Elle était aussi surprise par cette fille qui est venue d’elle et a déclaré qu’elle était sa sœur.

Azuma a été surprise par deux choses, l’une était le nom de Makoto. Elle était encore très troublée par son soudain transfert à l’étranger.

La seconde surprise était d’apprendre que c’était la séance de dédicace de son père. L’endroit, où ses amies l’ont forcé à venir, était en l’honneur du père de Mari, ce qui signifiait aussi qu’il était le père de Makoto.

Toutefois, les personnes, qui ont été les plus surprises par cette information, étaient les personnes derrière elle.

Les gens avec elle étaient des vraies fans de ce roman, donc de l’auteur Kanato. Toutes les deux étaient des amies et camarades d’Azuma.

“Vous êtes la fille de Kanato-sensei !” (Nobuko)

“Nobuko, c’est pas ça la plus grosse révélation ! Le père de Makoto-kun est Kanato-sensei ! Avoir un fils qui a le même age que moi…” (Kana)

“Merci de toujours prendre soin de mon frère. L’année prochaine, j’entrerai à Nakatsuhara, veuillez prendre soin de moi également, senpai.” (Mari)

Mari a ignoré leur excitation et a continué la conversation sur sa prochaine rentrée à Nakatsuhara.

“Humm… Mari-chan, donc votre père est bien l’écrivain là-bas ?” (Azuma)

Azuma a été la première à récupérer du choc de la révélation, elle a demandé la confirmation que le père de Mari était bien l’auteur donnant les autographes. Elle a été étonnée par le fait qu’elle ne connaissait rien à propos de la famille de Makoto et qu’aujourd’hui, elle a rencontré la famille de Makoto par inadvertance. Cette situation lui a fait penser que le monde est tout petit.

“Oh oui, mon frère ne vous a pas parlé de nous… Quel frère problématique…” (Mari)

Mari était confuse sur la raison pour laquelle Makoto n’a rien dit sur le métier de son père. Elle a senti que cela ne poserait pas de problème si elle leur disait pour son père et si nécessaire, même l’histoire complète de leur famille.

“Humm…..Mari-chan, Makoto-kun a 17 ans, pas vrai ? Alors, quel age a votre père ?” (Kana)

“Hé, Kana ! C’est une question un peu déplacée!” (Azuma)

Même si Azuma s’est ressaisie, ses amies étaient toujours sur l’apparence physique du père à Makoto.

“Il aura 42 ans cette année.” (Mari)

“Vous mentez, je n’arrive pas à le voir avoir plus vieux que le début de la trentaine !” (Nobuko)

Cette fois, c’était la personne nommée Nobuko qui s’est exclamée.

“Eh bien… Makoto n’est pas l’aînée de notre fratrie, j’ai aussi une sœur à l’université.” (Mari)

“…….” (Kana/Nobuko)

Nobuko et Kana avaient tous les deux les yeux grands ouverts à cause du choc de la révélation et se disaient qu’elle devait plaisanter à nouveau.

“C’est la vérité, elle est très célèbre dans le monde du Judo. Son nom est Yukiko.” (Mari)

“Misumi Yukiko… Oh, la personne qui a dit qu’elle ne poursuivra pas le judo à l’université et cela a désappointé le monde du judo !” (Azuma)

Azuma semblait connaître son nom, elle s’est souvenue d’une petite étudiante qui jetait des hommes faisant deux fois sa taille et c’était un peu comique à voir. De plus, il n’y avait personne qui avait entendu parler de la famille de Yukiko.

“Je rejoindrai le club de karaté, bien que le club est différent du vôtre senpai, j’espère que vous pourrez toujours m’aider si je me retrouve en difficulté. Mon frère m’a toujours dit de compter sur la fiabilité d’Azuma-senpai.” (Mari)

“Makoto…” (Azuma)

“Il m’a dit également de ne pas m’approcher d’Ibuki-senpai.” (Mari)

“Hahaha.” (Nobuko/Kana/Azuma)

Azuma et les autres ont commencé à rire et puis ont acquiescé de la tête en s’étant regardées les unes après les autres.

“Mari-chan, votre frère a raison en vous ayant dit de ne pas approcher d’Ibuki. Ne vous inquiétez pas, je vous protégerai si quelque chose devait vous arriver.” (Azuma)

“Oui, faites attention à Ibuki ou on pourra vous compter comme une nouvelle victime.” (Kana)

“S’il était aussi fiable que Makoto-kun, il serait encore plus populaire.” (Azuma)

Mari a continué sur sa lancée.

“J’ai remarqué que mon frère n’a jamais ramené de petite-amie à la maison… N’est-il pas populaire à l’école ?” (Mari)

“Je crois que les filles l’apprécient plus que les autres types, mais je ne pense pas que ce soit au point d’être amoureuse.” (Nobuko)

“Hmm… J’ai entendu une histoire comme quoi il se serait confessé à Azuma.” (Kana)

“Kana, qu’est-ce que tu racontes ?!” (Azuma)

Azuma a tenté d’empêcher Kana d’en dire plus.

“Oh, mon frère s’est confessé à vous, senpai ?” (Mari)

C’était la première fois qu’elle entendait quelque chose sur la vie amoureuse de son frère, alors elle était très intéressée par ce sujet.

“Non… C’est…” (Azuma)

Voir Yukari ainsi était assez rare. Elle n’avait plus la dignité qu’elle possédait en temps normal et elle ressemblait plus à une étudiante ordinaire.

Kana et Nobuko étaient toutes sourire.

“En réalité, je me suis confessée et j’ai été rejetée…” (Azuma)

“Pas moyen ! Vous vous êtes confessée à mon frère ?” (Mari)

Imaginer une relation entre ces deux-là étaient quelque chose d’improbable, donc entendre cela pourrait faire croire à un gros jackpot. Une telle beauté s’est confessé à lui et il l’a rejeté… Elle a commencé à penser que son frère était cinglé.

“Nobuko, Kana, je m’en souviendrai.” (Azuma)

“Quoi ? Je n’entends rien avec le bruit de la foule.” (Kana)

*Sifflote * (Nobuko)

Ces deux-là ont fait comme ci elles n’avaient pas entendu les paroles d’Azuma.

“Mon frère est un idiot, rejeter quelqu’un d’une telle beauté et qui est capable de devenir la capitaine d’un club… Pourquoi ?” (Mari)

“Être appelée beauté par Mari-chan me donne un étrange sentiment.” (Azuma)

Azuma a eu un sourire amer. Quand Mari a interpellé Azuma pour la première fois, elle a eu l’impression de voir une magnifique poupée marcher dans sa direction. Ses yeux étaient la seule chose qui l’a convaincu que ce n’était pas une poupée qui lui parlait.

“On me dit souvent que je ressemble à mon père et à ma mère, mais je pense qu’ils sont beaucoup plus cool que moi.” (Mari)

Mari a loué la beauté de ses parents. Azuma a sentit que c’était simplement la vérité et qu’il n’y avait aucune malice derrière. Elle a également été surprise d’entendre que ses parents étaient encore plus beaux qu’elle.

“…Je sens que je devrai passer de la pommade à Makoto-kun.” (Nobuko)

Lorsque Nobuko a pensé à ça, un petit sourire a commencé à apparaître sur son visage. Sa sœur Yukiko était quelqu’un qu’elle avait vu à la télévision, en plus d’avoir une grande beauté, Mari-chan, son père et sa mère n’étaient pas en reste non plus.

En réfléchissant à Makoto qui se trouvait au milieu de tout ça, elle le plaignait vraiment.

“Je crois que j’ai compris la raison pour laquelle Makoto-kun s’intégrait si bien dans le club de Kyūdō.” (Kana)

Kana a acquiescé aux dires de Nobuko.

“Bon, Mari-chan, si vous venez à notre école, venez me voir. Je vous aiderai si vous rencontrez un problème. De plus, si vous avez besoin d’aide pour les examens d’entrée, je peux également vous aider avec cela.” (Azuma)

“Oh, merci beaucoup. Puis-je avoir votre numéro de téléphone ?” (Mari)

“Bien sûr.” (Azuma)

“Oui, merci pour tout. Je vais vous laisser maintenant.” (Mari)

Pendant que les trois regardaient Mari remonter joyeusement la file d’attente, Azuma s’est sentie un peu déçue de ne pas avoir demandé des nouvelles de Makoto. Cependant, puisqu’elle a obtenu son numéro de téléphone, il y aurait de nombreuses occasions à l’avenir.

Azuma a remarqué que Mari s’est arrêtée au milieu du chemin.

“Quelque chose ne va pas Mari-chan ?” (Azuma)

Azuma a remarqué qu’elle s’est arrêtée pour discuter avec une autre personne. Elle s’est ensuite un peu penché pour voir avec qui Mari discutait…

“Oh ! C’est la première année de mon club… Nukumi… Hasegawa ? Je suis surprise de la voir ici. (Azuma)

“Oh, c’est vrai !” (Kana)

“Hasegawa, hein ?” (Azuma)

Azuma a murmuré son nom. Elle était plutôt sûre que Hasegawa ne lisait pas non plus de genre de roman et qu’elle a également été forcée par des amies pour avoir le nouveau livre dédicacé par l’auteur.

En regardant cette conversation de l’extérieure, Mari-chan était comme une journaliste qui interviewait Hasegawa. Elle répondait de moins en moins l’histoire que Mari lui racontait, Azuma avait l’impression que c’était plus intéressant à observer qu’à participer.

‘Bon, il faudrait que j’aille parler à Nukumi plus tard où des rumeurs pourraient se répandre. Je me demande quel type de personne est le père de Makoto-kun… Je suis impatiente de le rencontrer.’ (Azuma)

Ceci s’est avéré être un événement intéressant. Bien qu’elle a été forcée de venir ici, Azuma a pu trouver plusieurs informations concernant Makoto et elles étaient sincèrement reconnaissantes envers ses deux amies. C’est une étrange journée pour elle, c’était ce qu’elle pensait à la fin de la journée.