Attention, il est déconseillé de lire ceci après le prologue de l’histoire principale.
À ce moment-là (1)
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Traduction réalisée par lightnovelbastion
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Dans mes jeunes années, j’étais déchaîné. VRAIMENT déchaîné.
Et encore, ce qui est écrit ici n’est qu’une petite partie de la réalité. Les éléments vraiment glauques ont été effacés avec diligence (par mon maître et aniki (NTF : Grand-frère))!
J’ai tout fait, en incluant le meurtre, jusqu’à en être lassé et ensuite, je me suis calmé.
J’ai marié ma fille et j’ai donné mon nom à son mari en tant que cadeau de félicitation.
Je me demande si j’ai atteint le point où on pourra dire que mon feu s’est estompé. J’ai tellement de puissance que je ne sais pas quoi en faire, mais les occasions, où je m’en sers, deviennent de moins en moins fréquent.
C’est juste mon opinion.
Mais je crois qu’il ait préférable de se déchaîner et faire ce qu’il nous plaît quand on est jeune.
Ce n’était pas bonne chose si une personne, qui a vécu une vie tranquille, se mettait à péter un câble et se déchaînait après avoir vieilli.
Concernant ce point, je pense que ce qu’aneki (NTF : Grande sœur) et moi avons fait, rentre dans la catégorie de “ennuis que nous avons causé lorsque nous étions jeunes.” Actuellement, je buvais du thé sur le balcon pour m’apaiser. Nous avions pour l’habitude de nous livrer à de gros combats et de nous chasser les uns les autres, mais maintenant nous nous entendions bien.
Néanmoins.
Ce n’est pas le cas avec mon aniki.
Il a été toujours calme. Il faisait ce travail avec assiduité depuis que nos parents lui ont demandé de le faire et il a accepté n’importe quelle requête de leur part avec le sourire. Je lui ai causé des ennuis, mais nous ne nous sommes jamais combattus. Il a sans doute encore la cicatrice sur le dos que je lui ai fait lorsque je l’ai lacéré diagonalement et celle-ci sur son ventre quand je l’ai poignardé.
C’est une personne avec une grande ferveur et d’un calme olympien.
Quand j’abandonnais mon travail, il le faisait à ma place et lorsque Aneki se cloîtrait, il lui rendait visite.
Même maintenant, les nombreuses relations, que Aneki estimait pénible, sont gérées par aniki.
Il a commencé à agir à sa guise.
Aniki a finalement commencé à faire ce qu’il voulait.
Il a accouru vers moi avec une expression qui donnait l’impression que sa vie était en danger, il a dit ceci ‘‘Je te laisse le reste !’’ et il a disparu aussi rapidement qu’il était arrivé.
Je n’avais pas le moindre indice sur ce qu’il m’avait exactement laissé la charge, mais c’était la première fois que aniki me demandait quelque chose.
Je ne lui ai causé que des ennuis.
Avec l’intention de prendre en charge ce qu’aniki m’avait laissé, je suis allé demander aux personnes des alentours pour essayer de savoir où il était parti. Ce n’est pas comme si je m’enfuyais à cause de l’énorme quantité de travail qui va me tomber dessus avec la disparition soudaine d’aniki, un peu comme une avalanche, d’accord ?
… La porte de la pièce, où aneki s’était isolée, a été détruite par des serviteurs avec des yeux exempte de couleur, hein. Tu lui causes aussi des problèmes, Aneki. Je vais prendre en charge une partie du travail d’aniki (en incluant ma part).
J’ai demandé à mes connaissances à travers le monde, j’ai cherché et cherché encore, j’ai finalement découvert la localisation d’aniki, par là je voulais dire où il se trouvait.
Il était dans un lieu insolite. Ce n’était métaphore de dire qu’il a disparu. Il s’est littéralement effacé, donc je pensais que quelque chose est arrivé ; ça pourrait être quelque chose de sérieux. Ceci m’a fait bouillir le sang comme à la belle époque.
D’une certain façon, c’était le territoire de maman. Mais quand je l’ai contacté, elle m’a dit ‘‘Il n’est pas dans un état où il pourrait parler, alors il ne sert à rien de venir ici.”
Elle m’a envoyé une photo par e-mail et elle avait raison. Il n’avait même plus de corps. L’image était juste une brume faiblement brillante. En d’autre mots, c’était l’état actuel d’aniki.
Pour commencer, aniki n’était pas une personne avec une forte présence, et maintenant, il s’est transformé en un brouillard photochimique. Il peut aussi être reconnu comme une contribution à la pollution mondiale.
L’e-mail indiquait que sa conscience se portait bien, qu’elle était quelque part au plus profond de son être (Elle est sa mère après tout, alors il semble qu’elle a fait quelque recherche pour calmer ses inquiétudes), donc j’ai décidé d’utiliser la communication par les rêves pour entendre ce qu’il avait à dire.
J’ai fait part de mes préoccupations aux assistants moru, mes amis dans la mer Méditerranée, mais ils ont commencé à crier quelque chose au sujet de la protection de la vie privée. Alors j’ai essayé de les convaincre avec mes poings et cela a échoué. Ils ont dit quelque chose à propos d’une fête avec des yeux ne montrant aucun signe de reddition, donc j’ai décidé de reculer. Quand ils ont mentionné la protection de la vie privée en se jetant des regards furtifs, cela m’a fait serrer à nouveau les poings inconsciemment. Mais ensuite, ils ont mentionné les femmes. Si c’est le cas, ils auraient dû le dire avant.
Ce type était salement obnubilé, hein. Je lui présenterais quelques filles la prochaine fois. Puisqu’il n’aura aucun succès cette nuit et qu’il se fera battre vicieusement.
C’est un problème.
Ceci étant, je n’ai pas d’ami mêlé à ce genre de chose. J’ai quelques connaissances, mais il semble qu’elles sont trop effrayées par moi ; c’est assez difficile de les rencontrer.
Je n’ai pas le choix. Ce n’est pas une situation, où je ne peux rester sans rien faire. Si je ne saisissais pas la situation et que je me rendais à l’endroit où se trouvait aneki, j’échouerai de bien des manières.
Je suppose que je dois aller le voir. Au moment où j’ai décidé de faire ceci et que j’étais sur le point de rentrer au pays, quelqu’un m’a rendu visite.
De visiter ma maison juste avant que je ne la quitte, quel bon timing…, je veux dire quel mauvais timing. Je n’ai pas le temps de gérer cela, donc je vais devoir lui demander de revenir une prochaine fois.
‘‘Désolé pour ça. C’est inhabituel que quelqu’un vienne… Qu’est-ce que tu fais ?!’’ (Susanoo)
Une étrange vision est apparue à moi lorsque j’ai ouvert la porte.
La personne étant la plus proche de moi. Yama-chan.
L’autre personne était la personne que j’allais chercher. Mais avec Yama-chan l’embrassant passionnément, son visage était tout pâle.
‘‘J’ai une vague idée de la situation. Ce gentleman est celui qui a disparu et que tu allais chercher, n’est-ce pas ?’’ (Yama)
‘‘Eh bien, c’est vrai. Les informations circulent rapidement, hein.’’ (Susanoo)
Cela fait seulement une demie-journée depuis que j’ai envoyé les assistants moru à l’hôpital.
‘‘Humpf, humpf, humpf, humpf, veuillez me lâchez~, humpf…’’ (Yumene)
On dirait que l’embrassade était un peu trop passionnée ; son visage est devenu un peu violet et il s’est évanoui. Il haletait un peu plus tôt, donc je crois qu’il fallait s’y attendre. Ce type n’était pas un guerrier.
‘‘ Si tu veux remercier la personne qui l’a trouvé, sort avec moi. Je vais te laisser ça. Prends soin de ce gentleman !’’ (Yama)
Après cela, Yama-chan lui a tourné le dos.
‘‘Bon sang, puisque tu es là, pourquoi n’irons pas nous ensemble ?’’ (Susanoo)
‘‘Ce n’est pas nécessaire. Je vais aller aider pour certain travail qui n’a pas été fait.’’ (Yama)
En disant ça, Yama-chan est partie.
Q-Quelle personne courageuse. De toute évidence, il semblerait qu’elle essaye juste de gagner des points, mais elle est compétente. La rapidité avec laquelle elle a obtenu cette information, cela fait un peu harceleuse, mais en ignorant ce côté, elle est la meilleure.
Bon alors, je n’ai plus besoin de le chercher. Je suppose que je vais y aller pour entendre ce que aniki a à dire.
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‘‘Et c’est donc l’histoire.’’ (Aniki)
‘‘Alors c’est pourquoi que tu as fait quelque chose d’aussi fou… Ah, c’est un présent de ma femme.’’ (Susanoo)
‘‘Oh, c’est du tabac à pipe que j’apprécie. Comme attendu de cette dame, elle est bien informée. Eh bien, je présume que je devrais préparer du thé.’’ (Aniki)
Après avoir entendu la situation, j’ai donné le présent destiné à aniki.
Le présent que ma femme m’a fait porter était apparemment quelque chose que aniki aimait. Elle est vraiment une femme attentionnée, vraiment.
‘‘Ah, c’est bon.’’ (Susanoo)
Aniki était allongé sur un futon dans ce rêve, et alors qu’il allait se relever, je l’ai rapidement arrêté. D’imaginer qu’il deviendrait tellement faible qu’il aurait même besoin de se reposer dans son rêve ; il n’a pas changé, mon aniki.
‘‘Yumene. Vous pouvez faire du thé. Suffisamment pour trois personnes.’’ (Susanoo)
‘‘Hein ?! M-Moi ? Je comprends !’’ (Yumene)
Comme je l’ai soudainement interpellé, Yumene a laissé transparaître sa surprise, il s’est rapidement levé et a disparu.
‘‘Désolé pour ça~.’’ (Tsukuyomi)
(NTF : ‘Légère explication’, maintenant que tu sais qui est ‘aniki’. Dans la famille des Mikoto, nous avons la grande sœur Amaterasu, Déesse du soleil, l’entre deux Tsukuyomi, Dieu de la lune et le cadet Susanoo, le dieu des tempêtes… Enfin sur le papier, le cadet a fait tellement de choses dans les légendes qu’il est devenu dieu des mers, de la fertilité, etc.
De plus, Tsukuyomi est traditionnellement considéré comme une déité mâle, mais certaines interprétations, probablement influencées par la métaphysique chinoise du Yin et du Yang, le considère comme une déité femelle ou androgyne.)
‘‘C’est bon, ne t’occupe pas de ce genre de chose. Ce Yumene, il s’enfuit dès qu’il me voit. Je ne sais même pas si j’aurais réussi à venir sans l’aide de Yama-chan.’’ (Susanoo)
‘‘Je vois. J’ai même rendu cette fille inquiète, hein. Je commence à me sentir de plus en plus coupable.’’ (Tsukuyomi)
‘‘Elle était plutôt heureuse et elle a dit qu’elle aidera avec le travail que tu as laissé, aniki.’’ (Susanoo)
Je lui suis redevable pour son aide. Je ne mentionnerai rien du tout sur tes tendances de harceleuse, Yama-chan.
‘‘Je dois la remercier quand j’aurais récupéré.’’ (Tsukuyomi)
‘‘Ouais. Tu es bon pour incliner la tête devant tout le monde.’’ (Susanoo)
Je me demande si aniki savait tous les ennuis qu’il a causés en ayant disparu. Son mauvais côté, c’est qu’il ne reconnaît pas ses mérites.
Pour faire un rapprochement, c’était comme si une personne travaillant 35 heures et qui n’a jamais fait d’heures supplémentaires, se retrouvait à devoir travailler nuit et jour pour garder le planning. Sans aucune augmentation de personnel.
‘‘Mais lorsqu’on en vient à mon travail, contrairement à toi et à Nee-san, il devrait y avoir plein de personnes qui pourrait me remplacer. Y a-t-il vraiment autant de problème ?’’ (Tsukuyomi)
Il n’a rien compris.
Il n’a vraiment rien compris, aniki…
Effectivement, le travail d’aniki n’était pas le genre de boulot qu’il était le seul à pouvoir faire ; n’importe qui pourrait le remplacer pour faire pas mal de ses taches. Mais ce n’était pas le problème.
C’était la quantité.
Aniki était le seul qui pouvait gérer cette quantité de travail. Il était un surhumain. Il y avait définitivement plus de vingt-quatre heures dans une journée d’aniki.
Maintenant que j’y réfléchis, moi et Aneki étions inexpérimentés.
Il y avait plein de créatures intelligentes à cette époque. Les humains en étaient les principaux.
Durant la nuit où aniki était en charge, les Humains dormaient. Et les Humains ne vivaient pas dans les océans. En bref, je pensais que c’était facile.
Cependant, les créatures intelligentes n’étaient pas les seules à faire évoluer le monde. Nous ne savions pas cela.
Chaque chose dans le monde était étroitement connectée dans une sorte de coexistence.
Veiller sur les nombreux Humains, ainsi que l’environnement et les problèmes qui étaient liés.
Contrôler l’entièreté des vastes océans et les courants marins pour en faire bénéficier la terre.
En comparant les deux, mon boulot était beaucoup plus simple, c’était beaucoup plus stimulant et intéressant.
Mon frère faisait l’autre partie tout seul. Tout en étant remis en cause par les autres qui pensait que son travail était une tache simple que n’importe qui pourrait faire. Alors que c’était le plus difficile, pénible et ennuyant des boulots.
Même avec la quantité anormale de demandes et de documents qui arrivaient en ce moment, ce n’était rien comparé au volume de travail qu’aniki abattait à l’époque. Parce que depuis, il a travaillé d’arrache-pied pour créer un système qui automatisera une grande partie du travail.
C’était pourquoi aniki disait que son travail était désormais facile. C’est malheureux.
‘‘… Aniki, tu es incroyable, hein.’’ (Susanoo)
‘‘Qu’est-ce qui t’arrive soudainement ?’’ (Tsukuyomi)
‘‘Non, Tu es vraiment incroyable.’’ (Susanoo)
Pour couronner le tout, il a même couvert moi et Aneki. Et il a même sauvé de nombreuses personnes en difficulté en ayant juste une discussion avec Mère.
Ce n’était pas comme s’il avait une personnalité voulant gouverner ou faire des miracles.
Aniki était une personne incroyable.
Hmm ? Qu’est-ce que cela veut dire ?
‘‘Bien que tu sois mon frère cadet, tu es un mystère pour moi. Eh bien, bon boulot pour avoir pensé à venir ici sans que je dise quoi que ce soit. Désolé, mais pour ce qui concerne cette fille, consulte d’autres personnes pour élaborer un plan.’’ (Tsukuyomi)
‘‘Hmm, ouais. Bien sûr. D’autre part, les assistants moru m’aident, donc je m’en sortirai. Hé, aniki.’’ (Susanoo)
J’ai décidé de poser la question qui venait de me traverser subitement mon esprit.
‘‘Hmm ?’’ (Tsukuyomi)
‘‘À propos de l’Humain, tu as dit que tu lui as accordé un pouvoir.’’ (Susanoo)
Le fait, qu’aniki a accordé un pouvoir à un Humain en particulier, était très surprenant.
Aniki a toujours été le type de personne serviable depuis sa naissance. Il aidait n’importe qui et les autres lui rendaient service.
‘‘Hmm.’’ (Tsukuyomi)
‘‘Entre une capacité ou un pouvoir, lequel tu as lui donné ?’’ (Susanoo)
Il y avait trois moyens de conférer plus de puissance à un Humain.
L’une des méthodes était de lui donner un pouvoir ‘complet’, bien que ce soit une façon de parler.
La deuxième était d’éveiller une capacité que les Humains avaient naturellement.
La dernière était d’octroyer en l’Humain ce qu’on nommait un Trésor sacré. Mais ceci n’avait rien à voir avec cette affaire.
‘‘Je lui ai donné un pouvoir.’’ (Tsukuyomi)
Comme je le pensais. c’était bien le cas. Pour la première fois, le pouvoir divin, qui donnait de meilleur résultat quand il est accouplé à d’autre personnes, a été accordé à un Humain. Ceci semblait très intéressant. On m’a demandé de faire quelque chose pour lui, mais je présume que ce n’est pas un problème de laisser tout seul.
Mais pour l’instant, aniki est fragile. C’est parce qu’il est entré de force dans un autre monde.
‘‘Évidemment que tu perdras ton corps en interférant avec un autre monde après avoir fait ça. Tu as trop tiré sur la corde.’’ (Susanoo)
‘‘Non, non, c’est parce que j’ai donné plus de pouvoir que j’en avais l’intention. J’en ai suffisamment octroyé pour le remplir et ensuite, j’ai senti que j’étais devenu considérablement faible. J’ai sous-estimé le contre-coup que j’aurais en interférant dans un autre monde et cela a dégénéré de cette manière~.’’ (Tsukuyomi)
‘‘… Plus que tu n’en avais l’intention, hein. Tu veux dire qu’un Humain aussi intéressant vivait dans notre monde ?’’ (Susanoo)
J’ai observé aniki en essayant de le sonder.
‘‘Effectivement. Il est intéressant de bien des manières.’’ (Tsukuyomi)
‘‘Voila le thé, désolé pour l’attente !’’ (Yumene)
Foutu Yumene, juste quand j’avais pensé à essayer de comprendre les intentions d’aniki. Quel mauvais timing.
‘‘Oh, Yumene. Désolé pour ça. Merci pour le thé.’’ (Tsukuyomi)
Aniki a redressé la moitié supérieure de son corps et on dirait qu’il n’avait plus envie de répondre à mes questions. Il mangeait joyeusement quelques biscuits.
Cependant.
Il faudra prendre en compte le temps considérable pour qu’aniki revienne. Si nous laissons la nature suivre son cours, ceci prendra plusieurs centaines d’années. Même si nous faisons quelque chose… cela ne fera qu’une centaine d’années.
En fonction de comment nous prendrions en charge le travail qu’aniki m’a demandé de faire, je pourrais finir par être écrasé par cette charge de travail.
… Plusieurs personnes dans Takamagahara pourrait mourir par ce volume de travail. (NT Auteur : Takamagahara est l’endroit où vive les Dieux dans la mythologie Shintoïsme.)
Eh bien, c’est la première fois qu’aniki comptent sur moi. Je ferai de mon mieux !
Et donc, Susanoo, a fini sa visite à aniki et il a commencé à gérer les différentes taches laissées par son frère. Et évidemment, il a commencé à se prendre d’intérêt pour cet Humain qui est parti dans un autre monde.
Note de l’auteur :
Ce chapitre se déroulait dans le monde des Dieux.
Les personnages étaient Susanoo, Tsukuyomi, aneki, ainsi que les assistants moru, Yama-chan et Yumene. Si vous les connaissez, c’est tant mieux, et si ce n’est pas le cas, alors ce n’est pas grave.
En réalité, je serais étonné si vous les connaissiez tous.
Je suis impatient d’entendre vos impressions et opinions.