tsuki-extra-24

Attention, il est conseillé de lire ceci après le chapitre 110

Pendant ce temps-là, dans les montagnes (à Asora)

 

 

 

Crédits

Trad: Quesako

Check : Ghost

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Le vent se balançant dans les feuilles des arbres produisait un doux son.

Un doux souvenir nostalgique a refait surface dans mon esprit.

Ainsi qu’un autre souvenir affreux en même temps.

C’était un étrange sensation qui se contrebalançait.

Non, manifestement, les souvenirs douloureux étaient ceux gardant le plus fort impact, donc si je devais vraiment en parler, je dirais que ceci laissait davantage une impression désagréable.

Aujourd’hui, nous étions assez nombreux dans un certain endroit d’Asora.

Les personnes, qui m’accompagnaient, étaient Tomoe, Mio et Shiki ; Il y avait également des Orques et des Arkes, soit plusieurs dizaines de personnes.

M’ayant retrouvé en face d’un endroit exceptionnel, j’ai pris une profonde respiration. Même en tenant compte que c’était la mâtiné, de l’air froid rentrait dans mes poumons.

Et maintenant…

“N’est-ce pas un lieu splendide ? C’est attrayant.” (Tomoe)

“Y a-t-il des ingrédients ici ?” (Mio)

“Bien… Je crois qu’il y a quelque chose de similaire à ça dans Lorel et Aion, mais j’ai l’impression que c’est moins épais. Le sentiment au toucher est similaire, mais j’ai souvenir que ceci n’était pas pareil.” (Shiki)

Les Orques étaient agités, mais mes trois serviteurs manifestaient de l’intérêt envers la flore.

Shiki a déclaré avoir déjà vu quelque chose de similaire.

Il a dit que les feuilles étaient semblables, mais ce n’était pas celles d’un arbre… Parle-t-il de l’herbe de bambou ? Si je me souviens bien, cela peut être aussi considéré comme des pousses de bambous.

Peut-être que dans ce monde, ils étaient appelés pareils.

C’est bien ça. C’est bien une pousse de bambou.

Plus exactement, un bosquet de bambou que nous avions plantée

Cette partie était très importante.

Je suis allé dans ce genre d’endroit de nombreuses fois à l’époque où j’étais au Japon. Il s’agissait d’une place qui ne perdrait pas contre celle de Sagano dans Kyoto.

Mais c’était quelque chose que les gens là-bas m’ont dit.

… En premier lieu, je n’ai pas vu celle de Sagano, alors je ne pouvais rien affirmer.

Alors que nous étions dans une plantation de bambou, j’ai honnêtement demandé à kuma-sensei qui m’avait ramené, ce que nous faisions à cet endroit.

Quand je l’ai demandé, sensei a fait une grimace.

Immédiatement après, mes épaules ont été fermement saisies et lorsque que je me suis tourné, j’ai vu le visage terrifiant d’un homme mûr.

C’était peut-être à cause de ce genre d’expériences que j’ai lentement pu discerner si les sourires de sensei étaient à craindre ou non.

Et ainsi, il m’a déclaré que ce lieu était un bosquet de bambou. Ce n’était en aucune manière une plantation de bambou. C’était un bosquet de bambou qu’il a fait pousser de tout son cœur.

Il se berçait d’illusions. Ce n’était clairement pas un bosquet.

… L’entraînement à l’arc qui devait se dérouler dans un bosquet de bambou avec un sol plat s’est transformé en un entraînement dans un bosquet de bambous avec une surface inclinée comme celle d’un versant.

C’était l’enfer.

Plutôt que le souvenir de la saveur des pousses de bambou, c’est celui de mon corps entier submerger par la douleur qui était le plus vif dans mon esprit.

Bon, ce n’était pas quelque chose qui avait à voir avec la situation actuelle.

C’était tout simplement un souvenir.

Aujourd’hui, nous sommes venus dans cet endroit, qui a connu une croissance rapide, pour commencer à le gérer.

Ils ont vite poussé, plus vite que la normale, ils semblent encore plus extraordinaires que ceux de la terre.

Mio paraissait seulement être intéressée par les pousses de bambou.

“C’est d’une ampleur problématique. Il est déjà évident que ces bambous poussent rapidement, alors… Pour commencer, nous devrions arrêter leur expansion.” (Makoto)

“Ils sont grands et nombreux. Ne pouvons-nous pas les utiliser ?” (Tomoe)

“Selon la zone, l’intérieur est vide. On peut retirer leur écorce ou les unir pour en faire des objets quotidiens.” (Makoto)

“C’est intéressant. Coupons en un certain nombre et ramenons-les.” (Tomoe)

J’ai aussi parlé de la pousse des bambous.

“La chose, avec laquelle Mio s’amuse, est une pousse de bambou qui peut servir en tant qu’ingrédient.” (Makoto)

“Ah, non, ce n’était pas comme si… J’ai juste poussé cette étrange forme et… Hein ? C’est un ingrédient ? Et cela s’appellerait pousse de bambou ?” (Mio)

“C’est ça, mais ceci sert aussi à de nombreuses choses, tu sais. Creusons pour en récupérer et goûtons-les avec tout le monde un peu plus tard.” (Makoto)

“Oui !” (Mio)

J’ai dit à Mio la nature de la chose avec une teinte brune claire qu’elle poussait avec son éventail.

“Okay ! Bon alors, divisons-nous et confirmons l’envergure du bosquet de bambou pour commencer. Arke, puis-je demander ceci à vous autres ? Les Orques des régions montagneuses, pouvez-vous nous débarrasser des arbres qui ne sont pas des bambous et pourrait finir par gêner.” (Makoto)

“Alors, je vais d’abord enquêter sur cette plante. Waka-sama, que savez-vous à ce propos ?” (Shiki)

“Shiki, les racines de bambou se propagent sous le sol. Je crois qu’ils ont un genre, les femelles sont plus résistantes, alors lors de la gestion, vous pouvez réduire le nombre de mâles. Pour être honnête, je n’ai que des connaissances superficielles, donc je ne connais pas tous les détails. On m’a enseigné de nombreuses manières pour manger les pousses de bambous.” (Makoto)

“Accroissement par racine, hein. Dans ce cas, ceci pourrait être utile dans de nombreuses choses. Présentement, il y a un côté problématique, mais en termes de profondeur… Oh ? C’est un peu superficiel. Je vois.” (Shiki)

Shiki a commencé à analyser le bambou.

Shiki est devenu très compétent en agriculture. Il effectuait même des recherches. Le genre de personne qu’on voudrait tous avoir dans chaque foyer.

Je ne pouvais pas dire la différence de genre entre les bambous, j’ai juste creusé sans me soucier de ce genre de choses.

Désolé pour mon manque de connaissances.

Je me souvenais encore de l’amer souvenir de cet entraînement.

“Waka-sama, puisque cette chose brunâtre est une sorte d’ingrédients, serait-il mieux de les éviter pendant notre travail ?” (Orque)

“Prioriser votre tache. Ce n’est pas grave si vous les piétinez. Ils vont probablement quand même se développer, alors ne vous en souciez pas.” (Makoto)

“Je vois…” (Orque)

Sans doute parce qu’il ne voulait pas gâcher la nourriture, l’Orque, qui m’a posé cette question, m’a regardé avec une expression perplexe.

Compte tenu de la taille de cet endroit, j’ai l’impression qu’ils vont être nombreux, ainsi je ne crois pas qu’il n’y a pas à s’inquiéter à ce sujet.

Dans un premier temps, si nous ne pouvons pas tout manger et que nous ne voulons pas augmenter le nombre, nous n’avons pas d’autre choix que de les écraser.

“Hmm, Waka-sama ? Cette chose nommée bambou… J’estime qu’elle a certaines caractéristiques problématiques.” (Shiki)

“Problématique, tu dis ? Shiki, il n’y a pas de poison et l’arrière-goût désagréable peut facilement être élimi…” (Makoto)

“Uoaaaa ?!”

“?!!”

J’ai regardé en direction de l’endroit où un cri a soudainement retenti.

Quoi ?

Quelque chose ressemblant à une pousse de bambou a été tirée… Directement du sol… Avec une grande vitesse. Cela s’est produit plusieurs fois.

Les Orques se trouvant à proximité se sont vivement écartés et sont tombés sur les fesses.

…Hmm, qu’est-ce qui s’est produit ?

“Que s’est-il passé ?” (Makoto)

“W-Waka-sama. Le sol a soudainement gonflé sous mes pieds et…” (Orque)

“Et ?” (Makoto)

“Quelque chose en est sortie…” (Orque)

“Sortie…” (Makoto)

C’était vraiment une pousse de bambou…

C’est quoi cette histoire ?!

Quelque chose semble être tombé là où je regardais.

Il lui a fallu du temps pour redescendre.

À quel point est-il monté dans le ciel ?

Aucun doute que c’est bien une pousse de bambou.

En raison de sa chute, elle a été brisée en pièces et la partie comestible jaune a été dispersée sur le sol.

En d’autres mots, elle a volé.

Une pousse de bambou comme explosif ?

Hmm, c’est… mystérieux.

Tout le monde s’est figé devant cette scène étrange.

“Tu as dit que c’était sous tes pieds, donc ceci veut dire que tu as marché dessus, pas vrai ? Alors, cela signifie que ça s’est envolé à cause de la pression exercée. Une mine naturelle ?” (Makoto)

“Waka-sama, on dirait qu’ils possèdent une particularité inconnue pour toi.” (Shiki)

“On dirait bien. Quoi qu’il en soit… Ah, elle devrait essayer ça. Tomoe!” (Makoto)

J’ai remarqué une pousse de bambou qui dépassait du sol et j’ai appelé Tomoe.

“Que dois-je faire ?” (Tomoe)

“Essaye de pousser cette partie qui sort du sol.” (Makoto)

“Comme tu le souhaites.” (Tomoe)

Tomoe a tapoté la partie émergée de la pousse de bambou avec la poignée de son katana.

“Oh ?”

Comme si l’action de Tomoe avait agi comme un détonateur, la pousse de bambou a tremblé de partout et s’est envolée vers le ciel.

Sérieusement ?

“Essaye ensuite celui-là. Cette fois-ci coupe-la sur le côté.” (Makoto)

“… Comme tu le souhaites.” (Tomoe)

Tomoe a fait ce que j’ai dit.

Ce coup-ci, elle n’a pas beaucoup tremblé et a simplement roulé sur le sol.

Même quand nous l’avons tiré, elle ne s’est pas envolé.

C’est étrange.

“On dirait que c’est bon ainsi. Est-ce qu’elles ne réagissent qu’en subissant un minimum de pression ?” (Tomoe)

“Q-Qui sait. Quoi qu’il en soit, si vous voyez des pousses de bambou, tranchez les sur le côté au fur à mesure que vous avancez ! Si vous voyez quelque chose de louche sous vos pieds, quittez cette zone immédiatement !” (Makoto)

J’ai donné des nouveaux ordres.

J’ai cru que la journée d’aujourd’hui ne sera pas trop fatigante, mais on dirait bien que ceci ne sera pas aussi simple.

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En fin de compte, il semblerait que le cause est due à leur enfouissement.

Mes serviteurs, les Arkes et moi avons confirmé l’ampleur du bosquet de bambou, nous avons décidé que nous devrions couper celles enfouies et creuser une fosse tout autour.

Lorsque nous avons essayé de tous les rassembler avec la magie de Shiki… Ces saloperies ont explosé.

C’est chiant.

L’explosion n’était pas d’une grande ampleur, mais cela a suffi pour arrêter instinctivement la magie les rassemblant.

Les problèmes soulevés étaient d’un tout autre niveau.

Eh bien, nous sommes parvenus à retenir correctement l’explosion. Et avec Shiki, les Arkes, Tomoe, Mio et moi évidemment, nous avons creusé une fosse comme solution temporaire pour éviter la propagation. En d’autres mots, tout le monde, en dehors des Orques, a mis la main à la pâte.

C’était un sacré boulot.

Puisque que nous étions sur nos gardes et que nous nous y attendions, nous avions constaté que lorsque nous creusions proche de la zone où les pousses de bambous poussaient, elles s’envolaient en raison du choc qu’elles pouvaient recevoir par un coup donné sur le côté.

J’ai même pensé à appeler le Peuple-Ailé pour nous aider en les attrapant dans le ciel. Mais ceci m’attristait de leur demander de faire un travail aussi dégradant, donc j’ai gardé ça pour moi.

Nous avons décidé de les collecter avec des haches et des machettes à une profondeur décente.

Comme je le pensais, il y avait beaucoup de bambou que nous n’avions pas pu collecter.

La gestion de tout ceci pourrait être assez problématique.

Au pire, il serait peut-être préférable de juste laisser le bosquet ainsi.

Nous voulons juste empêcher la propagation et ça serait très satisfaisant s’il y avait une race quelque part qui aimerait en manger.

Eh bien, ceci dépendra de l’appréciation des autres races envers les manières de cuisiner que je connais.

Les Orques des régions montagneuses et nous avons transporté les pousses de bambous avec leur peau décollée, ne laissant que la partie comestible.

Les transporter sans la peau ferait perdre beaucoup de leur poids, alors ce n’était pas plus mal.

“Ah, Ema, tu peux laisser ainsi la partie rouge se trouvant en bas, tu dois juste un peu la raser. Ensuite, place l’eau et le son de riz dans la marmite et met-les pousses de bambous dedans. C’est ça, coupe les plus grosses en deux. Quand elles ont été bouillies, baisse le feu et laisse les mijoter pendant un moment. Et ensuite, après avoir laissé doucement tiédir, les préparatifs sont terminés.” (Makoto)

“Après avoir fait ça, qu’arrivera-t-il ?” (Mio)

“Si tu utilises les pousses de bambous telles quelles, cela sera amer et dur. En agissant de la sorte, ceci réduira ces inconvénients. Si elles sont des jeunes pousses qui ont été récemment déterrées, j’ai entendu dire que tu peux les manger ainsi, mais je ne l’ai encore fait.” (Makoto)

“Je vois. Cela demande des efforts. Dans quel genre de cuisine est-ce utilisé ?” (Mio)

“Tu peux le cuisiner avec du riz, en faire du jus, les cuisiner à la vapeur ou les manger comme des sashimis avec de la sauce soja. En tout cas, il y a de nombreuses recettes. Nous pouvons en obtenir beaucoup, alors tu peux tenter autant d’expériences que tu souhaites. Mais les faire bouillir, c’est la base pour tous les processus de cuisson, donc souviens-toi.” (Makoto)

“Oui. Un Sashimi d’une plante… C’est la première fois que j’essayerai. Est-ce différent de la salade ? … J’ai hâte de le faire !” (Mio)

Mio s’est jointe aux préparatifs de cuisine avec une assurance due à son expérience.

J’ai vu des pousses de bambous se faire cuire telles quelles avec leur peau, mais je n’ai pas essayé de le faire par moi-même.

Introduire un procédé que je ne connais pas tandis que nous en sommes encore au balbutiement ne serait pas une bonne idée.

Des recherches à ce sujet de leur propre volonté est la bienvenue, donc j’espère que ceci sera au goût des races d’Asora, un peu comme à l’époque des Ogres forestiers avec les bananes.

Les femelles Orques étaient principalement celles participant à la cuisine.

Lorsque nous aurons fini de les faire bouillir, j’en profiterai du temps de refroidissement pour leur présenter des recettes.

Shiki et Tomoe, qui étaient retournés au bosquet de bambou, seront probablement de retour ici et si ce n’était pas le cas, je pouvais juste les appeler quand la cuisine sera prête.

Cela s’est bien passé.

Je ne m’attendais pas à ce qu’elles s’envolent.

Ceci me rappelle l’histoire de la princesse Kaguya. (NTF : C’est l’histoire d’une princesse exilée de la lune et ses péripéties. Pour plus d’infos : https://www.nautiljon.com/culture/contes+-+mythologie-5/princesse+kaguya-18.html)

Il n’y avait rien sur des roquettes bambous dans cette histoire, mais c’était une histoire à propos de retour sur la lune.

Je ne connais pas la localisation d’Asora, mais il existait bien une lune.

Quand le ciel commençait à s’assombrir, elle faisait son apparition dans le ciel.

Aujourd’hui, elle se montrait comme toutes les nuits.

Tsukuyomi-sama, est-ce que tu vas mieux maintenant ?

Un bosquet de bambou et des recettes l’impliquant ; En cette journée où je me suis longuement remémoré mon pays natal, j’ai pensé au Dieu que j’avais rencontré avant ma venue dans ce monde.

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Les choses importantes dans le bosquet de bambou ont été laissées sous le contrôle des Orques.

Ce n’était pas comme si je leur avais donné l’ordre, ils se sont portés volontaires.

Maintenant qu’ils avaient partagé leur tâche administrative avec le Peuple-Ailé, ainsi il était moins chargé. Ce n’était pas un problème pour eux.

Mais Ema, qui essayait de me l’expliquer d’une voix calme, a été incapable de cacher ses vrais sentiments.

Apparemment, ils les ont appréciées.

Ma représentation des Orques était celle d’un cochon ou d’un sanglier.

Les Orques des régions montagneuses m’ont donné une image proche de celle des cochons.

J’ai souvent entendu que les sangliers mangeaient les pousses de bambous. Les Orques des régions montagneuses pourraient être du même genre, même si leur apparence est différente, donc ça ne serait pas étrange pour eux de partager le même genre de goût.

Maintenant que j’y réfléchissais, ils aimaient aussi les marrons et les pommes de terre.

Ils mangeaient également de la viande, mais ils étaient plutôt du genre à surtout apprécier les légumes.

Même ainsi, ils étaient assez musclés.

Comment cela fonctionne au juste ?

De manière inattendue, les Hyumains pourraient avoir une mauvaise constitution.

Au passage, Asora avait aussi des cochons et des sangliers. Je peux manger du sanglier, mais je m’assure de ne pas manger du cochon.

Après tout, je me sentirais mal envers les Orques.

Bon, ils ne soucient pas vraiment de ça et mangent du porc comme si c’était normal, donc il est normalement servi sur les tables à manger.

Mais peut-être à cause du fait que je ne mange pas, Tomoe, Mio et Shiki n’en consomme pas beaucoup.

Je leur ai dit de ne pas s’en soucier, mais comme ils ont leurs propres goûts, je ne vais pas les forcer.

Je ne sais pas où ils en sont, mais les cochons ne sont pas encore des animaux avec lesquels les Gorgones et le Peuple-Ailé peuvent viser l’élevage.

Je suppose qu’avec le temps les cochons redeviendront des sangliers.

J’ai demandé à un certain nombre d’Orques des régions montagneuses et il était certes vrai que les sangliers et les cochons partageaient quelques caractéristiques, mais ils les considéraient comme une race complètement différente.

D’après ce que j’ai entendu, c’était similaire à la façon dont les Humains percevaient les singes.

… Si c’était moi, j’hésiterais à manger du singe.

Eh bien, c’est bon si cela ne leur pose pas problème. Après tout, il est vrai qu’ils ont bon goût. Je mangerai aussi avec le temps, ainsi il serait une bonne idée de les domestiquer à l’avenir.

Ragoût, gingembre frit, côtelette de porc, porc pané avec du riz et quant à la soupe, ça serait de la soupe miso au porc.

… Ouais, il vaudrait mieux ne pas s’obstiner.

Rien qu’avec les recettes que je connais, j’en ai déjà l’eau à la bouche.

Des personnes comme mon père et Rembrandt-san m’ont dit que je devrais apprécier la nourriture grasse tant que j’étais jeune.

Plus tard après le rapport, j’ai enseigné les recettes à Ema sur sa demande.

Je songeais à lever mon interdiction de manger du porc dans un futur proche.

En laissant de côté le monde extérieur, la journée d’aujourd’hui à Asora a été plutôt paisible.