Est-ce une boite au trésor ?!
Trad: Quesako
Check: Sora
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Note traducteur Américain : Ce chapitre est assez joyeux.
Bref, j’ai été satisfait qu’il (NTF: l’auteur je présume) n’a pas choisi de suivre une voie qui aurait fait traîné les chapitres.
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“Onii-chan, même si vous êtes Waka-sama, ce n’est pas bien si vous ne pouvez pas conduire au moins un chariot, vous savez ?”(Villageoise A)
Même si je ne m’étais pas encore habitué au froid du matin, cette fille à côté de moi m’a dit ça avec froideur alors qu’elle tenait les rênes du chariot.
Ce n’était pas comme si je ne pouvais pas le faire.
C’était à cause du cadre farfelu fabriqué par Mio et Tomoe, il y avait une partie qui disait ‘Je ne peux pas conduire un chariot’.
Si j’essayais, j’ai l’impression que je pourrais même conduire sans avoir besoin des rênes.
Car ce qui tirait le chariot, c’était un cheval qui pourrait sembler normal si on retirait le fait qu’il avait deux cornes. Je ne suis pas sûr que je puisse le maîtriser avec ma technique, mais je le cache en ce moment.
C’était une véritable bête démoniaque appelée ‘bicorne’ et elles sont utilisées par les Orques et les Hommes-Lézards.
Bref, les termes pouvaient s’affranchir des espèces. Je me demandais jusqu’où cette appellation pouvait s’être répandu. Actuellement, mit à part les choses non organiques, Hyumains et plantes, tout ce qui vivait, pouvait me comprendre.
C’était pourquoi je pouvais le faire comme si j’utilisais les rênes et commander le déplacement comme je le voulais.
Mais parce que mon image d’excentrique se développerait, je ne pouvais pas le faire. Ils me regarderaient comme une personne farfelue qui parlait une étrange langue avec son cheval.
… Eh bien, je ne veux pas entendre ça d’une personne qui se livre au fantasme à propos d’être un samouraï errant.
Je sens que les personnes de nos jours ne me souhaiteraient pas la bienvenue.
[Je suis désolé, j’ai pratiquement tout laissé dans les mains dans ces deux-là.] (Makoto)
“Hum~ Être une personne riche et l’héritier d’un marchand, êtes-vous d’accord juste avec ça~ ?” (Villageoise A)
Tu as absolument raison, ce n’est pas bien.
Comme attendu de quelqu’un qui vivait dans un endroit si malfamé. Son niveau de maturité était assez élevé.
Malgré son apparence aux alentour de la dizaine d’années. Son âge ne me regardait pas de quelconque manière.
[C’est pourquoi j’ai été jeté. Ça s’appelle un voyage d’apprentissage mais c’est peut-être plus proche d’appeler ceci un déshéritement.] (Makoto)
“Ah~ c’est ainsi. Je peux comprendre cela~. Mais alors, si Mio-san n’est pas là, est-ce que vos produits vont se vendre correctement ?” (Villageoise A)
Tu peux comprendre ça hein. Elle est sérieuse, comme ma Nee-san.
Bien que le portrait de sa sœur ressemblait vraiment à quelqu’un de mon ancien monde.
Le portrait, que cette petite fille a dessiné la nuit dernière, semblait si similaire à une de mes connaissances qu’il m’a perturbé.
Quand j’y pense, j’ai évacué un peu de ma colère sur Tomoe et Mio, je me sens un peu coupable.
[Ouais, concernant les marchandises, peu importe qui les vend, ça sera pareil.] (Makoto)
La fille parlait pendant qu’elle tournait sa tête pour me faire face.
“Hein ? Pourquoi ?” (Villageoise A)
[Ce sont des choses que j’ai vues pour la première fois. J’ai prévu de les vendre peu importe le prix, nos dépenses de voyage ne tiendront pas sinon. Et aussi, les fruits ne tiendront pas le temps que nous atteignons la prochaine ville.] (Makoto)
“Hé, C’est quelque chose qu’on peut vous avoir dit mais…” (Villageoise A)
[Quoi ?] (Makoto)
La fille a semblé légèrement sur la réserve et a arrêté soudainement de parler.
Cette fille a dit qu’elle cherchait sa sœur, mais ce n’est peut-être pas seulement que ça.
“Ce sont tous des fruits que je n’ai jamais vus avant. Et en plus, ils sont incroyablement délicieux. D’où les avez-vous obtenus et comment les avez-vous apportés ici ?” (Villageoise A)
Son impression était plutôt bonne quand elle a analysé les fruits. Je pouvais ressentir sa résolution dans ses yeux. Revente d’information, ou pire elle pourrait être une espionne hein.
Mais j’ai l’impression que la partie à propos de la situation de sa sœur était vraie. Si c’était antérieur alors elle avait un fort esprit commercial mais si c’était postérieur alors…
‘Si tu veux récupérer ta sœur, va-y et obtient des informations’, ce genre de chose ?
Nan~ Et même si c’est vrai, qu’espère gagner le type qui tire les ficelles~ ?
[Bien, le problème est si vous me croirez ou non.] (Makoto)
“C’est quoi ? Qu’est-ce que c’est ?” (Villageoise A)
Elle est extrêmement intéressée, c’est assez évident.
Bah, on s’en fout. Quoi qu’il arrive, j’ai déjà réfléchi à ce que je ferai avec les marchandises.
Rendre ces informations publiques était en réalité bienvenu. Si je pouvais l’aider à atteindre son objectif en même temps alors je n’aurais pas de problème avec cela.
[Originalement, nous n’avions pas prévu de venir aux confins du monde. Nous sommes arrivés sur ces terres par chance.] (Makoto)
“?” (Villageoise A)
[Et nous avons erré mais un jour, nous avons été enveloppés par une brume vaporeuse. Nous avons quand même poursuivi notre marche à l’intérieur du brouillard et à ma surprise, il y avait une colonie.] (Makoto)
“Colonie ? Dans cette région ?” (Villageoise A)
[D’ici ça prendra 2 ou 3 jours. Étonnamment, cette colonie était une colonie de Mamono.] (Makoto)
“Ma, Mamono ?!” (Villageoise A)
[C’est ça. De plus, ils pouvaient tous parler en langage commun et ils étaient vraiment courtois. Alors nous y sommes restés quelques jours et j’ai reçu les fruits comme souvenir.] (Makoto)
“…” (Villageoise A)
Oh~ ces yeux doutaient de moi ~ Bon c’est une histoire totalement inventée alors ce n’était pas déraisonnable comme comportement.
Bon, ceci deviendra la ‘vérité’ à partir de maintenant.
[Vous comprenez mieux ? C’est dur d’y croire, non ?] (Makoto)
“Ou-Ouais. Quand vous faites référence au mamono, de quelles espèces n’agissaient-ils ?” (Villageoise A)
[Orque, Homme-Lézard, Nain et à ma surprise même des Arkes. C’était vraiment un endroit étrange. J’ai même cru être dans un rêve, mais j’ai toujours ces choses avec moi.] (Makoto)
J’ai dit ça et ayant jeté un coup d’œil à l’arrière du chariot.
Effectivement ce que je disposais ici, à un certain pourvoir de persuasion. En fait, je n’ai aucune intention de parler de cette histoire dans la zone de commerce. Je vais juste dire qu’ils sont des bizarreries et les vendre tous.
Et j’ai l’impression que la question, qu’elle a posée, avait une arrière-pensée.
“Il y en avait autant ?! Je ne peux pas le croire~.” (Villageoise A)
[Ouais, même maintenant, je continue de penser que c’était peut-être un rêve à l’intérieur du brouillard.] (Makoto)
“Un brouillard qui est à 2 ou 3 jours de distance hein.” (Villageoise A)
Elle réfléchissait. Les enfants de ce monde n’étaient pas joyeux mais quand je comparais l’attitude de la fille de la nuit dernière et celle de maintenant, elle était vraiment suspecte.
[Rinon, cet endroit n’est pas la zone de commerce ?] (Makoto)
J’ai appelé la petite fille par son nom. Le nom de la fille est Rinon et le nom de sa onee-san est Toa-san. Elle était plus jeune d’un an par rapport à moi. Bien que la découverte d’un endroit pour vivre était un gros problème, elle a fait à cette situation et elle a été en mesure de trouver cet endroit pour sa sœur. Je la respectais pour ça.
Dans mon monde, à l’age de 16 ans, j’étais toujours étudiant donc les seules obligations étaient d’étudiées.
“Il n’y pas d’autre information sur cette colonie ?” (Rinon)
Communiquer par l’écriture était peu pratique par moment.
Si elle ne regardait pas, elle sera incapable de répondre.
Je n’ai pas le choix donc j’ai tapé son épaule plusieurs fois pour la sortir de ces réflexions. Elle m’a enfin remarqué.
“Hiiii~ ! Franchement~ C’est du harcèlement sexuel onii-chan !” (Rinon)
C’est du harcèlement sexuel ?! Je ne peux pas sous estimer ce monde ! Qu’un tel mot puisse exister dans un lieu où il n’y a aucun respect des droits de l’homme !
[J’ai demandé, n’est-ce pas l’édifice de la zone de commerce ?] (Makoto)
“Ah ! Nous l’avons passé ! Je suis désolé !” (Rinon)
Je grattais mon masque. Ce monde a également le principe du harcèlement sexuel ? J’étais encore surpris par ce monde.
Nous avons un peu avancé, puis nous avons tourné le chariot et avons commencé à nous préparer pour descendre de celui-ci.
Maintenant, la zone de commerce.
Comme attendu, être un nouveau venu attirait vraiment l’attention des autres. Eh bien, j’ai aussi un masque.
Pour une raison quelconque, Rinon a dit qu’elle resterait dans le chariot et a refusé d’entrer dans la zone de commerce.
Comment cela ? Ses vêtements semblent usés donc elle s’abstient d’y aller ?
Mais même si je voulais aller à un magasin de vêtement, je ne sais pas où il y en a un et ils ne sont probablement pas ouverts si tôt dans la matinée.
Et aussi, acheter des vêtements à une fille que je viens juste de rencontrer… On croirait le passe-temps d’un mec riche alors je n’aime pas trop ça. Je veux juste vivre normalement.
“Bonjour. Je pense que c’est la première fois que nous nous voyons. Quel genre de commerce avez-vous ?”
[Bonjour. Hier, j’ai appris l’existence de cet endroit par mon assistante. Une femme aux cheveux noirs avec des vêtements spéciaux.] (Makoto)
“! Hum, je peux paraître un peu rude mais…”
[Je suis désolé. Il s’est passé des choses et je ne suis plus en mesure de parler pour le moment alors s’il vous plaît, veuillez me pardonner d’utiliser l’écriture comme moyen de communication.] (Makoto)
J’ai brièvement expliqué l’apparence de Mio.
Il semblerait qu’elle a eu une sorte d’effet sur l’homme qui était devant moi vu qu’il se souvint d’elle.
En outre, il a accepté sans problème ma communication par écrit. Je suis reconnaissant.
“Ah, hum. Si c’est ça alors ceci veut dire que vous êtes la personne qui a perdu sa plaque de la guilde marchande ?”
[Oui, Je suis très embarrassé. Ça ne fait pas longtemps que j’ai commencé dans les affaires alors je suis vraiment inquiet.] (Makoto)
“Sans doute. Que vous avez pu arriver ici est pratiquement un miracle. Cela doit faire de vous, une personne très chanceuse. Ça doit être une chose enviable.”
Je peux seulement entendre des sarcasmes. Je n’ai pas eu une telle chance ! Je n’aime pas du tout ça !
[Je suis vraiment passé par beaucoup d’expérience mystérieuse avant d’arriver ici. Et donc, je suis venu ici pour vendre ce que j’ai obtenu dans ces aventures.] (Makoto)
“Eh bien, vous ne serez pas capable de vendre ces choses librement si vous n’avez pas de plaque de la guilde marchande. Et même avec cela, vous êtes quand même venu dans ce lieu obscur qu’est la zone de commerce, moi-même en tant que marchand je me sens respectueux à cet égard.”
L’homme avait un sourire chaleureux et m’a pressé de lui montrer les marchandises. Est-ce sans lien avec les voleurs de la nuit dernière ? Il n’y a pas de contact avec une autre partie ?
D’une certaine façon, je pouvais discuter donc ça va si j’enquêtais discrètement à propos de ça.
[C’est la marchandise dans le chariot.] (Makoto)
Rinon s’est correctement posée à l’intérieur du chariot. Il semblerait qu’elle n’a pas d’intention de s’enfuir.
“Est-ce votre esclave ? Hé, montre-moi la marchandise.”
Quoi ? Esclave ?
… Je vois. Certainement, avoir de tels vêtements et être à l’intérieur du chariot, tu pourrais le prendre de cette manière.
Hmmm~, il y a eu beaucoup de termes dont je n’ai pas encore l’habitude d’entendre mais…
C’est un monde où avoir des esclaves est normal hein.
Après tout, le vieux marchand prend ça normalement.
Alors pourquoi y a-t-il un tel mot comme ‘harcèlement sexuel’ ? J’ai l’impression que ce mot va délicatement s’entremêler avec mon futur, pour moi cela à un aspect extérieur laid, je ne veux pas de cela. D’abord être envoyé dans un autre monde, ensuite être accusé de harcèlement sexuel et enfin la prison, sérieusement, épargnez-moi tout ça.
Mais, je vais quand même corriger le malentendu. Même si Rinon ne s’y oppose pas et lui montre la marchandise, elle doit être habituée à ce traitement.
[Pardonnez-moi pour le manque de politesse, mais elle est une connaissance qui m’a servi de guide. Elle n’est pas une esclave.] (Makoto)
“Oh, c’est donc ainsi ?”
L’homme a silencieusement regardé Rinon.
“Veuillez pardonner ma grossièreté.”
Peut-être qu’il pensait que cela causerait un litige, donc il s’est excusé auprès de Rinon. Elle semblait un peu surprise par cela, elle a fait une courbette avec des yeux grands ouverts par et elle est allée chercher un linge qui était caché à l’intérieur du flanc latéral du chariot.
“C-C’est ?!”
[Comment ça ? Ce sont des fruits, vous en avez jamais vu avant ? N’importe lequel d’entre eux est sincèrement délicieux. Allez-y et goûter les.] (Makoto)
J’ai pris deux pommes, je lui ai donné une et j’ai croqué un morceau de l’autre pour lui montrer qu’elles étaient comestibles.
“Alors, itadaki masu.” (NTA: Bon appétit)
Il a dû être soulagé quand il a vu que j’en mangeais une normalement, le marchand a croqué dans a pomme.
À ce moment, ses yeux se sont ouvert en grand et il a fixé la pomme. Et il a croqué un autre morceau assez vite.
Il a mangé toute sa pomme en une seconde en ayant veillé à ne pas laisser un peu de jus de fruit tomber par terre. Incroyable… il a dû beaucoup aimer cela.
Avec ça, Il ne devrait pas y avoir de problème pour les vendre.
Si c’était possible, je voudrais amortir le prix d’hébergement de l’auberge.
[Il semble que ce soit à votre goût.] (Makoto)
“Ça l’est, je n’ai jamais mangé un fruit aussi délicieux ! Où vous l’êtes-vous procurez ?!”
[C’est ce que j’appelle un secret commercial. Je veux tout écouler ici, mais me donnerez-vous la permission ?] (Makoto)
“Secret commercial ?! Pas moyen, avez-vous l’intention de les monopoliser ?!”
[Même si vous parlez de monopolisation, ce sont des produits qui ont une certaine histoire. Je ne suis pas sûr que je puisse en obtenir une seconde fois.] (Makoto)
“Hein ?! Ceci signifie qu’ils sont des fruits qui ne pourraient ne jamais réapparaître, c’est ce que vous essayez de me dire ?”
[C’est vrai. Je prévois de répartir après quelques jours, donc je m’apprête à tous les vendre et c’est tout.] (Makoto)
“Oui. Si c’est ainsi ça sera des fruits d’une seule expérience.”
[À quel prix les achèteriez-vous ?] (Makoto)
“Je peux en goûter un autre ?”
[Bien sur, mais je n’ai pas beaucoup d’entre eux alors essayez de vous limiter par un de chaque type, s’il vous plaît.] (Makoto)
“Je comprends. Combien en avez-vous ?”
[Il y a seulement ceux qui sont dans le chariot, il y a quatre boîtes pour chacune des quatre espèces, ce qui fait seize au total.] (Makoto)
L’homme a appelé ses collègues et il leur a donné une pomme, une pêche, une poire, une grenade et leur a fait goûter.
… Il y avait quatre espèces que j’ai choisies sans enthousiasme, mais elles étaient des choses qui pouvaient être consommées crus.
Ce n’était pas tout. Lorsque je regardais leurs réactions, je n’ai pas pu m’empêcher de sourire de voir à quel point ils sont choqués par des fruits qui poussaient au petit bonheur dans Asora…
Bon, le goût était un héritage. Ce sont toutes des choses qui étaient considérées comme délicieuses dans mon ancien monde. Je pensais aux améliorations de la marchandise, mais il semblerait qu’il n’y aura pas beaucoup de problème.
Ceci pourrait être dû coutume d’agriculture des Orques.
“Bien, ce sont toutes des choses splendides.”
[Merci beaucoup.] (Makoto)
“Et donc, fixons le prix.”
[Oui] (Makoto)
“La qualité est unanime ‘pas d’objection’ mais c’est la première fois pour ce produit après tout. Je veux que vous compreniez notre couardise.”
‘C’est délicieux mais comme c’est un produit inconnu, nous ne pourrons acheter qu’à faible prix, pardonnez-nous.’, voila comment je devrais interpréter ça.
“…”
“Une boîte fera 30 pièces d’or. Pour un total de 480 pièces d’or.”
Cher ?!
Ces types ont probablement baissé les prix mais même avec cela, c’était toujours un prix assez élevé. C’était pratiquement le prix d’un métal précieux ! Non, une boite à bijou !
Je gardais un visage impassible, mais je pensais sérieusement que ces types étaient des idiots.
Oublions la récupération d’une partie du prix de l’hôtel, je suis maintenant capable de tout payer.
Bon, je vais essayer de râler. L’ascendant psychologique pourrait chuter si j’acquiesçais trop vite. J’ai songé à augmenter les prix d’au moins 100 pièces d’or pour l’ensemble, j’ai même laissé échapper un sourire quand j’y réfléchissais.
Ils regardaient tous mon visage et attendaient ma réponse, ils étaient si faciles à comprendre. Pour eux, cela serait le moment où commençaient les négociations avec le plus petit prix comme détonateur.
[Bien, c’est plutôt prévenant de votre part. Mais souvenez que je suis celui qui vend. Ne pouvez-vous pas monter le prix ?] (Makoto)
“A-Alors ça sera ainsi ?!”
Tu es si facile à cerner !
[Non, non, Je préfère les choses simples alors faisons le pour 500 pièces d’or. Qu’en pensez-vous ? De cette façon, je n’aurai aucune objection.] (Makoto)
Un supplément qui peut être considéré comme de la petite monnaie…Quoi ?! 20 000 yen ?! De la menue monnaie ? Qu’est-ce que je viens juste d’affirmer ?
“500, ok ! Alors c’est réglé ! Hé !”
Le marchand a appelé le transporteur de marchandise et une personne a apporté l’or.
Chacun d’eux a affiché sa satisfaction sur son visage.
Ceci atterrira probablement dans une cour royale ou le manoir d’un grand marchand.
Si je demande, avec insouciance, de l’aide avec la vente des fruits dans la ville. Je sens qu’ils vont me demander une cotisation supplémentaire comme produit de luxe.
Ces hommes à qui j’ai vendu les fruits, à combien vont-ils revendre ? 2 ou 3 fois plus élevés pourrait être juste une estimation basse.
Si ça devient 10 fois alors j’en rirai. Je risquerai de mourir de rire. Ceci surpasserait le million, tu sais ? Quel genre de bleu je serais ?
Rinon était complètement distraite après avoir entendu le prix.
Dans le cas de cette fille, le fruit qu’elle a mangé pourrait être supérieur à son salaire annuel, peut être même le salaire annuel de sa sœur aînée.
[Oui, j’ai incontestablement reçu 500 pièces d’or. Je vous remercie beaucoup.] (Makoto)
“Nous aussi ! Si vous tombez à nouveau sur quelque chose d’aussi d’étrange, rendez nous visite.”
[Okay, Allons-y.] (Makoto)
Rinon reprenait une fois de plus les rênes.
Elle devait toujours être choquée mais Rinon a amené le chariot qui transportait les 500 pièces d’or à l’auberge.
Les fruits, qui ont été pris avec moi par hasard, se sont transformés en 5 000 000 yen(NTF: 43 355euros).